2024-02-12 11:04:00
Voulons-nous le dire ? Le seul vrai menace pour l’Intersont les opinions enthousiastes des commentateurs, en commençant naturellement par nous, journalistes, et en arrivant aux anciens footballeurs et anciens entraîneurs.
Prendre le train (sauf descendre au premier faux pas) est un vieux vice italien, mais dans le football, nous sommes désormais hors de contrôle. Même Arrigo Sacchiqui d’habitude n’en épargne pas, après le triomphant succès contre la Roma (2-4), est devenu l’un des chanteurs les plus fous de l’équipe d’Inzaghi.
«Je propose trois mots qui définissent parfaitement l’Inter : force, expérience, technique…» écrit le gourou charismatique de Fusignano, adoucissant sa sévérité habituelle.
Je ne paie pas Arrigo ajoute un autre chéri : «Inzaghi il se rapproche du rôle de stratège nécessaire pour conquérir la Ligue des Champions…”.
Soyons clairs : nous ne sommes pas en colère contre Sacchi, l’un des rares entraîneurs à avoir véritablement changé le football moderne. Absolument pas. Cependant, qu’est-ce qui devrait préoccuper leInteret surtout Inzaghi, c’est cette ruée vers les applaudissements malgré tout, cet aplatissement total de tout sens critique.
Inzaghi lui-même, qui a souvent été mis sur le terrain l’année dernière pour une prudence pas vraiment au cœur de lion, est désormais, sans avoir encore remporté le scudetto, un deus ex machina du banc. Célébré même lorsque (en raison d’une disqualification) il ne s’assoit pas sur le banc. Comme samedi à la mi-temps du match à l’Olimpico, avec le Rome menant 2-1. La nouvelle dit qu’Inzaghi a appelé ses joueurs au téléphone et les a réprimandés pour leurs indécisions.
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