L’investissement australien dans le « cyber bouclier » de Microsoft révélé ; Anthony Albanese aux États-Unis ; Les paiements du roi Charles d’Anthony Pratt révélés

L’investissement australien dans le « cyber bouclier » de Microsoft révélé ;  Anthony Albanese aux États-Unis ;  Les paiements du roi Charles d’Anthony Pratt révélés

L’Australie a récemment pris des mesures importantes pour renforcer sa sécurité numérique en investissant dans le célèbre “cyber bouclier” de Microsoft. Cette décision stratégique a été révélée au grand public, soulignant ainsi l’engagement du pays à protéger ses infrastructures et ses données contre les cyberattaques. Parallèlement, le leader de l’opposition australienne, Anthony Albanese, s’est rendu aux États-Unis pour renforcer les liens entre les deux pays sur des questions clés telles que la sécurité, l’économie et la politique étrangère. Enfin, l’homme d’affaires australo-américain, Anthony Pratt, a fait l’objet de révélations quant à ses paiements prétendument royaux du roi Charles. Ces développements suscitent des interrogations quant à la façon dont l’Australie gère ses relations internationales et assure la transparence financière des personnalités influentes du pays. Cet article examinera plus en détail chacun de ces événements et leur impact potentiel sur l’Australie.

Dans l’actualité nationale, la ministre de l’Éducation de Nouvelle-Galles du Sud, Prue Car, a refusé de chiffrer un taux de vacance d’enseignants acceptable pour le système public après que de nouveaux chiffres alarmants ont révélé que les écoles publiques manquaient de près de 3 200 enseignants occasionnels chaque jour.

Mardi, lors d’audiences houleuses sur les prévisions budgétaires, Car a déclaré que le gouvernement serait transparent sur la pénurie d’enseignants suite aux révélations selon lesquelles 10 000 classes fonctionnent quotidiennement sans enseignant dédié.

La ministre de l’Éducation de Nouvelle-Galles du Sud, Prue Car, lors d’une audience sur les prévisions budgétaires cet après-midi. Janie Barrett

Le ministère de l’Éducation de Nouvelle-Galles du Sud a mené une enquête auprès des écoles publiques du 14 août au 1er septembre, montrant que les écoles avaient un manque moyen de 3 184 enseignants occasionnels chaque jour, 87 pour cent des écoles signalant des postes vacants au cours de la période d’enquête de quinze jours.

Car a déclaré lors de l’audience que le gouvernement mesurerait son succès en poursuivant l’enquête annuelle, ajoutant que le paramètre le plus important à prendre en compte était la diminution du nombre de démissions d’enseignants.

« Les démissions dépassent les départs à la retraite et nous devons garder les enseignants dans notre système », a-t-elle déclaré.

Le secrétaire du Département de l’Éducation de Nouvelle-Galles du Sud, Murat Dizdar, a déclaré que l’État avait un « problème d’attraction et de rétention des enseignants ».

« Je ne dors pas facilement quand mes propres enfants rentrent à la maison et disent que leur professeur n’était pas là et que leur classe n’était pas couverte », a-t-il déclaré.

Fin septembre, il y avait 2 247 postes d’enseignant vacants dans les écoles publiques de Nouvelle-Galles du Sud, a confirmé le département, soit une augmentation par rapport aux 1 820 postes non pourvus en mai.

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