La confrontation est lancée. L’Iran a condamné les nouvelles sanctions financières prises par les États-Unis le vendredi 7 février, le vendredi 7 février contre un réseau international accusé d’avoir envoyé du pétrole brut iranien en Chine pour des centaines de millions de dollars. “La décision du nouveau gouvernement américain de faire pression sur la nation iranienne en empêchant le commerce juridique de l’Iran avec ses partenaires économiques est une mesure illégitime, illégale et violente”a déclaré le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Esmaïl Baghaï, dans un communiqué. La décision des États-Unis est “Catégoriquement injustifié et contraire aux règles internationales”Il a ajouté.
Peu de temps après, le Guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, a déclaré que la négociation avec les États-Unis ne résoudrait pas les problèmes du pays. “Ils ne devraient pas prétendre que si nous nous asseyons à la table de négociation avec ce gouvernement [l’administration américaine]Les problèmes seront résolus »Il a dit lors d’une rencontre avec les commandants de l’Air Force, ajoutant que “Aucun problème ne sera[it] résolu en négociant avec l’Amérique ».
Le Département du Trésor américain a annoncé ces sanctions financières le jeudi 6 février. Parmi les entités et les particuliers sanctionnés, se trouve la société Sepehr Energy, que Washington décrit comme étant “Compagnie d’écran” travaillant au nom de l’armée iranienne. Plusieurs navires de pétrole et les sociétés qui les affectent sont également ciblés.
Les sanctions ont été prises après la réintégration du président américain, Donald Trump, de la politique de “Pression maximale” Contre l’Iran en raison des allégations selon lesquelles le pays cherche à développer des armes nucléaires. L’Iran a dénoncé la restauration de cette politique, similaire à celle que le milliardaire républicain avait mis en œuvre contre Téhéran lors de son premier mandat (2017-2021), affirmant que la poursuite de cette politique se terminerait par un “échec”.
Dans le cadre de la politique de sanctions sévères effectuées au cours du premier mandat de Trump, Washington s’est retiré d’un accord international qui a imposé des restrictions au programme nucléaire iranien en échange d’une réduction des sanctions. L’Iran a rejoint l’accord jusqu’au retrait unilatéral de Washington en 2018, puis a commencé à reprendre ses engagements. Les efforts pour relancer l’accord nucléaire conclu en 2015 ont depuis échoué.
Mercredi, le président américain a réaffirmé que l’Iran “Ne pouvait pas avoir d’armes nucléaires”. Mais l’Iran insiste sur le fait que son programme nucléaire n’est destiné qu’aux fins pacifiques et nie toute intention de développer des armes atomiques.
#LIran #estime #les #nouvelles #sanctions #américaines #illégales #layatollah #khamenei #veut #pas #négocier #libération