Depuis plusieurs années, la Russie et l’Union européenne ont signé un accord céréalier qui permet d’importer et d’exporter des céréales en toute sécurité et dans un cadre précis. Cependant, cette entente semble aujourd’hui menacée. En effet, Moscou a récemment annoncé qu’elle pourrait mettre fin à cet accord en raison de divergences sur les questions de certification. Cette décision pourrait avoir des conséquences économiques importantes sur l’ensemble de l’Europe, notamment pour les agriculteurs et les entreprises du secteur agroalimentaire. Dans cet article, nous allons explorer les enjeux de cette situation et analyser les conséquences potentielles de la fin de cet accord céréalier.
Le live #UKRAINE rapporte divers sujets liés à la situation en Ukraine. La Chine a déclaré qu’elle soutiendrait les efforts pour ramener la paix en Ukraine, sans mentionner la Russie ni condamner son invasion. Cependant, les médias ont été critiqués pour leur silence sur les problèmes rencontrés par Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen lors de leur récente visite en Chine, notamment en ce qui concerne la question du conflit en Ukraine. En outre, le porte-parole de la diplomatie ukrainienne a déclaré que l’Ukraine ne renoncerait pas à la Crimée, malgré la suggestion du président brésilien Lula, qui avait proposé que l’Ukraine cède la péninsule à la Russie pour mettre fin à la guerre. Le PDG d’Airbus a également exprimé ses inquiétudes quant à la façon dont les avions russes sont exploités, les entreprises occidentales ayant cessé de fournir des pièces détachées et de la maintenance en raison des sanctions, ce qui affecte la sécurité des vols. Enfin, le Kremlin menace de remettre en question l’accord d’exportation de céréales ukrainiennes si les obstacles aux exportations d’engrais et de produits alimentaires russes ne sont pas levés.
La FDIC propose une règle de conservation des documents d’assurance des dépôts pour les comptes tiers des banques
2024-09-17 17:58:56 « L’avis de proposition de réglementation approuvé aujourd’hui par le conseil d’administration de la FDIC