Tandis que l’artiste belge Wim Delvoye propose L’Ordre des choses au Musée d’art et d’histoire de Genève (MAH), l’institution genevoise réfléchit à de nouveaux espaces, à de nouveaux usages, à de nouvelles manières de traverser ses collections, bref à un nouvel «ordre des choses» muséal. Si le directeur Marc-Olivier Wahler, arrivé en 2019, indique la route à suivre – sur la base des conclusions d’un comité d’experts rendues en 2018 –, le muséologue Bertrand Mazeirat, qui fut, notamment, membre de l’équipe fondatrice du Musée des Confluences à Lyon, est chargé du projet «Le MAH de demain». Après que le projet d’extension a été balayé en votation populaire en 2016, le MAH se transforme pas à pas, non sans s’interroger à chaque étape. Dans ce cadre, Bertrand Mazeirat est à l’initiative, avec la Société des amis du musée, d’un cycle de conférences – «Le Futur a-t-il de l’avenir?» – qui interrogent le rôle du musée dans la ville et le territoire, mais aussi sur les récits qu’il doit et devra proposer. La prochaine, ce mardi, demande à deux sociologues et deux géographes si «Genève est une ville imaginaire».
Le Temps: Bertrand Mazeirat, quel est votre rôle au MAH?
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