Inspirez par les soirées tendances sur les rooftops parisiens, l’Orléanaise, c’est l’endroit où il faut être à la rentrée !
“L’idée, c’est de rassembler des jeunes de 16 à 25 ans avec un festival gratuit, de type garden-party”, explique Simon Fougère, cofondateur de l’Orléanaise. L’événement peut compter sur le soutien de la Ville d’Orléans : “On a besoin d’avoir des événements festifs et conviviaux pour les jeunes du territoire”, affirme Quentin Defossez, adjoint au maire d’Orléans en charge de la jeunesse.
À deux mois des Nuits de Sologne sur le thème de “20.000 lieues sous les mers”, les préparatifs s’accélèrent.
Une journée, deux états d’esprit.
Deux ambiances en un événement, mais un fil rouge, la musique électro. Effectivement, la première partie du festival s’annonce dans un climat familial, avec jeu de Mölkky, transat, bornes photos, atelier maquillage et stands de restauration à disposition.
“Le festival est intégré intelligemment au cœur de ville : il s’adresse d’abord aux familles puis aux jeunes. Et il tisse des partenariats avec des commerçants locaux.”
Des artistes locaux et internationaux.
Dès 18 heures, The North Project, un duo de jeunes talents lillois, ouvrira le début de soirée. Khar & Yuva, Charles B et Simon Fougère assureront la suite des festivités. Le reste de la programmation est encore secrète. Une chose est sûre, ce sera un mélange de générations et d’expériences. Une volonté des fondateurs de l’événement, Simon Fougère et Gaëtan Laurent, qui ont lancé un appel à candidatures.
“On est soucieux de pouvoir faire découvrir de jeunes DJ et de les associer avec des DJ internationaux, c’est une vitrine pour les jeunes artistes orléanais.”
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Une saison finale.
Pour les plus fêtards, la soirée se prolongera jusqu’au bout de la nuit, avec un after dans la boîte du Nova club.
Malgré des organisateurs et des partenaires enthousiastes, ce sera la dernière saison de l’Orléanaise… Du moins la dernière saison sur le toit de la Charpenterie, car le voisinage juge l’événement trop bruyant. Pour autant, pas d’inquiétude : sous un nouveau format ou dans un nouveau lieu, l’Orléanaise n’a pas fini de vous faire danser.
Romane Calvet.
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