2025-02-06 13:24:00
Quand LS Dunes Ils ont affirmé il y a quelques années que leur projet était plus qu’un supergroupe, ils ne se trompaient pas. Votre deuxième album, “Violet”c’est une évolution naturelle et solide qui continue sans trébucher à sa présentation au monde avec “Lives passées”. Dans ce nouvel épisode, le groupe maintient son essence, mais avec une direction plus cohérente et déterminée.
L’emo, le mélange de roche post-escroc et alternatif se démarque à nouveau dans le son du quintette de Chicago formé par les membres de Circa Survive, jeudi et Coheed et Cambria. Dès le début, Anthony Green est remarqué en ouvrant l’album avec “Comme la magie” Avec sa voix comme le seul élément pendant près d’une minute, peu de temps après la grossièreté la plus pure avec le Grand “Deluxe fatal” (Le plus puissant et peut-être le meilleur de cet album).
Bien que la performance vocale de Green soit encore admirable dans ses notes les plus aiguës, son ton mélodique peut être quelque peu sucré pour ceux qui ne connaissent pas sa façon de chanter. Cela devient évident dans certaines parties de chansons telles que “Je peux le voir maintenant …”, “Holograms” o “Paper Tigers”, où votre interprétation la plus mélodique peut générer une division. Cependant, le groupe se sent encore plus ferme et plus cohérent que vous ne pouvez vous attendre, avec de meilleures compositions les unes avec les autres et un son qui rappelle parfois une sorte de lien de Circa. Contrairement à “Lives passées”plus anxieux et chaotique (bien que tout aussi efficace), cet album semble laisser plus d’espace pour les progrès et le renouvellement.
Le libérateur ferme avec “Pardon” Cela fonctionne comme une sorte de catharsis qui mène à un soulagement sans laisser cet album cesser d’être déchirant et enragé quand il doit l’être. Pas d’auto-impositions. Il ne brise aucune règle établie, c’est vrai, mais la bande est manipulée comme un poisson dans l’eau à l’intérieur de ses quatre murs permettant le plaisir de chacune de ses pièces à la fois séparément et ensemble. Les détaillants et parfois les guitares ludiques Frank Iro et Travis Stever et cette basse robuste accompagnée des percussions cohérentes de la règle Tucker confirment qu’il ne s’agit pas d’une union de talents forcés, mais un groupe qui continue de trouver l’inspiration sur leur chemin.
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