Valérie de Graffenried
Bruxelles
Elle s’en était violemment prise à la Chine. Le 13 septembre, dans son discours sur l’état de l’Union, Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, avait annoncé l’ouverture d’une enquête sur les subventions publiques chinoises «massives» aux constructeurs de voitures électriques, dénonçant les «prix maintenus artificiellement bas». Rebelote mardi. La Chine est une nouvelle fois dans le viseur. Ce sont cette fois la vice-présidente de la Commission, Vera Jourova, et le chef de l’industrie de l’UE, Thierry Breton, qui ont haussé le ton, pour présenter une liste de dix technologies clés susceptibles de faire l’objet d’utilisations abusives que l’UE doit défendre face à ses rivaux. De quoi provoquer de nouvelles tensions avec le géant asiatique.
Lire aussi, notre analyse: Semi-conducteurs, énergies renouvelables, voitures électriques: la guerre des subventions s’intensifie
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