À l’âge de 19 ans, il a co-écrit les paroles de Maniac 2000 de Mark McCabe, l’un des singles irlandais les plus vendus de tous les temps.
L’homme de 45 ans anime désormais le spectacle house et dance Freaks avec Al Gibbs sur FM104 de Dublin. L’émission, diffusée depuis près de deux décennies, s’étend désormais à deux émissions par semaine, le vendredi et le samedi soir, et l’édition du vendredi sera également diffusée sur 96FM de Cork et Limerick Live 95.
Comment votre éducation a-t-elle façonné votre attitude envers l’argent ?
Grandir à Ballybrack a grandement façonné ma vision de l’argent. Mes parents m’ont inculqué la valeur du travail acharné et de la débrouillardise. Leur dévouement m’a appris l’importance de la responsabilité financière.
Chaque centime a été pris en compte et rien n’a été tenu pour acquis. Cette éducation m’a appris que si je voulais quelque chose, je devais le gagner grâce à un travail acharné et à la persévérance.
Quand étiez-vous le plus fauché ?
En 2010. Avant la récession, j’étais prospère et je dirigeais une entreprise prospère. Cependant, comme bien d’autres, le ralentissement économique a durement frappé, me laissant dans une situation difficile.
Heureusement, ma carrière de DJ et mon mandat chez FM104 sont apparus comme des bouées de sauvetage. Malgré les difficultés financières, ma passion pour la musique et mon émission sur FM104 ont fourni un point d’ancrage solide au milieu de la tempête.
Avez-vous déjà vu quelqu’un dépenser de l’argent d’une manière qui vous a choqué ?
Avant que la récession ne frappe, c’était assez fou de voir des gens ordinaires acheter plusieurs maisons – parfois trois ou quatre de plus. Cela montrait à quel point il était facile d’obtenir des prêts à l’époque, notamment pour l’immobilier. Avec le recul, il semble un peu fou que nous ayons tous été entraînés dans cette frénésie d’achat sans considérer les risques.
Comment les restrictions liées au Covid-19 ont-elles affecté votre bien-être financier ?
Ils ont eu un impact profond sur mon bien-être financier, notamment en raison de leurs effets dévastateurs sur le secteur de l’événementiel. En tant que personne profondément ancrée dans ce domaine, j’ai été témoin de la façon dont la pandémie a décimé les opportunités d’événements et de rassemblements en direct.
Ce fut une période incroyablement difficile, avec l’arrêt soudain des concerts et des représentations, laissant beaucoup d’entre nous dans l’industrie avoir du mal à joindre les deux bouts.
Comme beaucoup d’autres dans ce domaine, je me suis retrouvé à peine à m’en sortir alors que les sources de revenus habituelles se sont évaporées du jour au lendemain. L’incertitude quant au moment où – ou si – les événements reprendraient a ajouté aux tensions financières.
Quel a été votre meilleur investissement ?
J’ai lancé une agence de divertissement, EML, en 2003 avec 500 € et nous l’avons construite pour accueillir près de 50 collaborateurs à la fois.
Quelle a été votre plus grosse erreur financière ?
J’ai acheté une discothèque en 2007, littéralement trois mois avant la course à Northern Rock. Nous avons payé plus d’un million d’euros en clé de voûte.
Le lieu s’est très bien comporté en termes de clients, mais les dépenses par personne ont chuté de 70 % avec la récession, rendant l’entreprise non viable. C’était une leçon difficile à apprendre et notre timing était pourri.
Quel a été ton premier métier?
En fait, mon premier travail était celui de DJ. J’ai commencé par faire tourner des morceaux lors de soirées privées, puis j’ai animé des discothèques pour enfants. Cette première expérience derrière les platines a enflammé ma passion pour la musique, ouvrant la voie à ma carrière dans la radiodiffusion.
Ce fut un voyage remarquable qui m’a conduit là où je suis aujourd’hui, partageant de la musique et me connectant avec les auditeurs sur FM104.
2024-04-28 04:30:00
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