2024-05-07 22:07:04
Le ministère de l’Intérieur souhaite modifier la législation concernant la surveillance au moyen de bracelets électroniques des personnes sous contrôle judiciaire ou assignées à résidence.
La loi sur la surveillance des suspects sous contrôle judiciaire ou assignés à résidence à l’aide de bracelets électroniques va changer. Le ministère a publié une ordonnance d’urgence relative à la loi 146/2021. Le but des amendements est d’augmenter le degré de sécurité publique et de rendre plus efficace le contrôle de l’exécution des mesures ordonnées par les organes judiciaires.
Afin de surveiller les personnes soumises à des mesures de contrôle judiciaire, de contrôle judiciaire sous caution et d’assignation à résidence, la direction du ministère de l’Intérieur a initié la modification et l’achèvement, par ordonnance gouvernementale d’urgence, de la loi n° 146 de 2021. concernant la surveillance électronique dans le cadre des procédures pénales judiciaires et d’exécution. En outre, dans le même but, la direction de l’AMI a ordonné l’élaboration d’un projet de décision gouvernementale visant à modifier la décision gouvernementale n° 1025 de 2022. pour l’établissement des aspects techniques et organisationnels concernant le fonctionnement dans le système pilote, ainsi que ceux concernant l’opérationnalisation du système informatique de surveillance électronique, ressort-il d’un communiqué de presse publié par le MAI.
Le ministère de l’Intérieur fait quelques propositions par lesquelles il demande d’avancer la date de prolongation du projet au niveau national des ordonnances de protection et des ordonnances de protection temporaire du 1er janvier 2025 au 1er octobre 2024. Avec l’entrée en vigueur du Ordonnance et jusqu’au 1er octobre 2024, le système de surveillance électronique sera également testé pour les personnes sous contrôle judiciaire ou assignées à résidence dans la municipalité de Bucarest et dans les départements où ce système fonctionne, sur les infrastructures déjà existantes. Le système a été conçu pour être mis en œuvre en trois étapes et ne couvre actuellement que les infractions de violence domestique pour lesquelles une ordonnance de protection de la victime a été émise. Ainsi, la première étape aura lieu entre 2022 et 2023 – au niveau de la municipalité de Bucarest et des comtés de Iași, Mureș et Vrancea ; la deuxième étape aura lieu en 2024 – au niveau des unités administratives-territoriales prévues par lettre a) et au niveau des comtés de Bacău, Brașov, Caraș-Severin, Călărași, Cluj, Constanța, Covasna, Galati, Giurgiu, Harghita, Ilfov, Mehedinți, Neamț, Prahova, Sibiu, Satu Mare, Sălaj, Teleorman, Vaslui et Vâlcea, et le troisième, au niveau des unités administratives-territoriales prévues dans la lettre a) et b) et au niveau des départements d’Alba, Arad, Argeș, Bihor, Bistrita-Năsăud, Botoșani, Brăila, Buzău, Dâmbovița, Dolj, Gorj, Hunedoara, Ialomița, Maramureș, Olt, Suceava, Timiș et Tulcea, avec un premier mandat l’année 2025.
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