Mais maintenant c’est bon

Néanmoins, Merz est régulièrement accusé de représenter les intérêts du « big business », en référence à Blackrock. Les critiques n’ont apparemment aucune idée de ce que fait un gestionnaire de fortune, à savoir gérer l’argent de ses clients en fiducie. Ils n’ont apparemment aucune idée non plus de la manière dont BlackRock vote au nom de ses clients lors des assemblées générales des sociétés dans lesquelles le géant américain détient une participation via des fonds et des ETF : relativement transparente et, depuis 2022, avec l’implication de ses clients institutionnels.

Vous pouvez critiquer Blackrock. L’entreprise est sans aucun doute le poids lourd du monde financier, avec une influence correspondante et ses propres intérêts – que d’autres poids lourds du paysage des entreprises possèdent également et veulent faire valoir. On peut – et on doit – critiquer le lobbying en politique. On peut aussi critiquer Merz, par exemple pour ses moments de manque d’instinct politique (« J’ai peut-être travaillé plus de huit heures par jour »), son attitude parfois arrogante, et bien sûr aussi pour sa politique. Ce que Merz et Blackrock n’ont presque certainement jamais fait, c’est de la politique directe en Allemagne avec les milliards provenant des fonds BlackRock et des ETF iShares.