par Olivier Daelen
publié le mercredi 24 janvier 2024 à 21h49 •
5 minutes de lecture
Mardi, l’option pour chaque État membre de l’UE de cesser d’importer du GNL russe est devenue un peu plus concrète grâce à un vote au Parlement européen. La Belgique devrait bientôt pouvoir en bénéficier. Mais s’il ne tenait qu’à Tinne van der Straeten, notre pays risque de ne pas en profiter. La Belgique resterait donc l’une des principales portes d’entrée du GNL russe vers l’Europe.
Pourquoi est-ce important?
Alors que les importations européennes de gaz naturel russe (par gazoduc) ont fortement diminué depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine, les importations de GNL russe (par bateau) ont augmenté. La Belgique est le troisième importateur de GNL en Europe. Il dit qu’il ne peut pas arrêter ce processus, lié par des contrats. Il n’existe actuellement aucune sanction contre le gaz russe au niveau européen.
Dans les nouvelles: Un vote important sur le GNL russe.
- La commission de l’énergie du Parlement européen a approuvé mardi une série de règles pour la réforme des marchés du gaz.
- L’une des mesures approuvées concerne l’importation de GNL russe. Chaque État membre devrait pouvoir décider lui-même d’y mettre fin ou non.
Un cadre juridique pour résilier les contrats
Les détails: Fluxys, “sponsor de la guerre en Ukraine”.
- Le Parlement européen et le Conseil
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