Manœuvre 2024, de l’énergie chère au Nadef : les rendez-vous de la semaine

Manœuvre 2024, de l’énergie chère au Nadef : les rendez-vous de la semaine

2023-09-24 01:08:45

Des mesures contre la hausse des prix de l’énergie à Nadef. Une semaine chaude commence pour le gouvernement appelé à approuver interventions contre les augmentations d’électricité et de carburant lundi e Note de mise à jour à la Def vendredi avec les estimations qui constitueront la base de la manœuvre qui sera présentée d’ici la mi-octobre.

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Des mesures et des documents à élaborer dans le cadre étroit des perspectives de croissance incertaines, des augmentations des spreads, des retards du Pnrr, du fardeau sur les comptes du superbonus et du resserrement monétaire de la BCE. Un casse-tête qui rend difficile de trouver la bonne solution pour élaborer la manœuvre qui, selon les hypothèses du gouvernement, devrait être d’environ 30 milliards d’euros alors que la couverture en trésorerie certaine n’est actuellement que de 5,5 milliards.

Factures et bonus essence

Le paquet de mesures contre le coût élevé des factures et du carburant est attendu en Conseil des ministres lundi. Parmi les interventions du décret-loi figurent l’extension des aides aux utilisateurs d’électricité et de gaz, y compris le soi-disant bonus sur facture ; le bonus essence qui sera chargé sur la carte sociale « Dédiée à vous » ; la TVA de 5% sur le gaz et l’arrêt du marché protégé des clients nationaux avec un accent particulier sur la situation des plus vulnérables.

Vers de nouvelles estimations du PIB et des comptes

Nadef pourrait réviser à la baisse les estimations du PIB. Des variables endogènes liées au ralentissement de la consommation et des investissements, l’arrêt du superbonus et les retards du Pnrr pèsent sur la croissance, mais aussi des facteurs externes comme la hausse des taux de la BCE qui entraîne 14 à 15 milliards supplémentaires de coûts de refinancement de la dette publique, le ralentissement de l’économie européenne, menée par l’Allemagne, et la poursuite de la guerre en Ukraine. Dans les dernières estimations du PIB, l’Istat a abaissé la croissance à -0,4% au deuxième trimestre avec une variation acquise pour 2023 de +0,7% contre +1% indiqué dans le Def d’avril. Pour 2024, la Def prévoit 1,5 % de programmes. Quant au déficit du printemps, le gouvernement prévoyait un niveau de 4,5% en 2023 et 3,7% en 2024 par rapport au PIB ; pour la dette, l’estimation est de 142,1% en 2023 et de 141,4% en 2024.

Manœuvre de chantier

Voulant écrémer au maximum les demandes des ministères pour la manœuvre, il faut plus de 30 milliards. Le refinancement de la réduction du coin fiscal coûte 9 milliards d’euros, première étape de la réforme fiscale en fusionnant les deux premiers taux : 4 milliards, au moins 2 milliards sont nécessaires pour la santé, au moins 4 milliards pour les familles et la natalité, confirme-t-il. le paquet de retraites (pas d’ajustements donc) 2 milliards. 6 milliards supplémentaires sont utilisés pour des dépenses non reportables, des missions de maintien de la paix, etc. La confirmation de la fiscalité préférentielle sur les primes de productivité et les avantages sociaux jusqu’à 3 mille euros coûte 2 milliards ; enfin, le renouvellement des contrats de travail publics pour la seule start-up en nécessite au moins 2. Mais la couverture certaine ne s’élève pour l’instant qu’à 5,5 milliards (4 milliards en espèces tirés du meilleur résultat de 2023 et 1,5 milliard en réductions du budget). ministères) .



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