Manœuvre 2024, nouvelle retraites quota 103 et baisses d’impôts : le plan

2024-08-29 01:13:16

De la crise des retraites à l’opération « classe moyenne » qui apporterait des avantages fiscaux à 8 millions de contribuables supplémentaires, aux côtés des 14 millions de travailleurs touchés par la réduction du coin fiscal, pour un total de 22 millions de contribuables touchés par les baisses d’impôts. Ce sont les hypothèses sur les paquets retraites et fiscalité sur lesquelles travaille le gouvernement en vue du budget.

Retraites

Côté sécurité sociale, des techniciens des ministères du Travail et du Trésor travaillent sur diverses simulations pour un avance de pension serréeen libérant des ressources d’une mesure – le quota 103 – qui, en l’état, est très coûteuse. A cet effet, selon ce qu’Adnkronos a appris de sources gouvernementales, la technostructure INPS chargée du dossier a été convoquée par les homologues des deux ministères pour une étude des options possibles. Mais le sujet devrait également être abordé lors de la réunion majoritaire de demain, vendredi 30 août.

Il y aurait une étude à l’étude au gouvernement extension des fenêtres de sortie à 6-7 mois contre 3 actuellement pour les travailleurs qui optent pour l’avance avec 42 ans et 10 mois de cotisations (41 et 10 mois pour les femmes) quel que soit leur âge. En outre, ni l’option féminine ni le singe social ne peuvent être reconduits.

Parmi les mesures étudiées par les techniciens, il y a également un ajustement à la baisse du mécanisme de revalorisation pour les chèques de montants supérieurs. Également sur la table du paquet des retraites se trouve la proposition lancée ces dernières semaines par les sous-secrétaires de la Ligue du Nord à l’Economie, Federico Freni, et au Travail, Claudio Durigon, d’attribuer obligatoirement les 25% del Tfr alle forme integrativeallégeant ainsi partiellement la charge qui pèse sur l’État.

Réduire le coin fiscal

Parmi les priorités du gouvernement dans la manœuvre figure la volonté de confirmer la baisse du coin fiscal pour 14 millions de travailleurs et la fusion des deux premiers taux de l’Irpef. Par ailleurs, à notre connaissance, dans la suite logique de la baisse d’impôt envisagée par la délégation fiscale, si la couverture le permet, le gouvernement vise à alléger la pression fiscale de la classe dite moyenne, qui n’a bénéficié ni de la baisse des impôts, ni de la réduction des impôts. les coûts de main d’œuvre ou la simplification de l’Irpef. L’hypothèse est donc à l’étude réduire le taux intermédiaire de 35 à 33% et augmenter le plafond de revenus de 50 à 60 mille euros pour la deuxième tranche : un dispositif qui apporterait des avantages aux poches d’environ 8 millions de contribuables. Cependant, tout est conditionné par la recherche de ressources. Le coût du fonctionnement de la « classe moyenne » est d’environ 4 milliards.

Lire aussi



#Manœuvre #nouvelle #retraites #quota #baisses #dimpôts #plan
1724900382

Facebook
Twitter
LinkedIn
Pinterest

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.