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March 17 – Être à Paris – 9 Lives Notes

by Nouvelles
March 17 – Être à Paris – 9 Lives Notes

2024-03-18 07:05:31

Être à Paris pour la première fois depuis ma dernière visite ici avec Caitlin.

Je suis seule dans un hôtel, une étape en route vers une résidence d’artiste pour les prochaines semaines. En arrivant ici, après un vol de nuit et un trajet en taxi avec un chauffeur terriblement mauvais, je me suis retrouvé encore plus impressionné par Caitlin et par la façon dont elle a transporté son concentrateur d’oxygène et sa valise pleine de médicaments jusqu’ici pour vivre seule pendant quelques semaines, pour vivre cette expérience, seulement un an avant qu’elle doive être inscrite pour une greffe.

Aujourd’hui, la douleur de son manque était terriblement proche de la surface alors que je marchais vers le Marais pour retrouver une amie pour le déjeuner. Caitlin est avec toidisent toujours les gens. Elle est toujours avec toi. Je sais qu’elle l’est, mais ce n’est pas la même chose que rire et être ensemble en temps réel. Ce n’est pas comme visiter des musées, déjeuner et aller au spa ensemble, comme la mère et la fille que je me suis retrouvée à regarder dans mon hôtel.

En me dirigeant vers le Marais, j’ai fait un détour par l’Île Saint-Louis, où, pendant les années d’université de Caitlin, elle et moi avons loué un petit appartement pendant deux semaines pour avoir une idée de ce que c’était de ‘vivre à Paris.’ (C’était avant SAULE et Airbnblorsque louer un appartement pour de courtes vacances demandait des efforts.)

Aujourd’hui, il pleuvait et l’ambiance était mélancolique, mais j’étais reconnaissant d’avoir l’abri privé d’un parapluie. J’ai pris à gauche la rue Caitlin et j’avais prononcé en plaisantant «le toit de deux ponts.» Ensuite, j’ai pris à droite et j’étais là, dans une rue qui est telle qu’elle est depuis plus d’années que vous ou moi ne pourrions le savoir. Demeures en pierre datant du XVIIe siècle.

Debout là, je me souvenais de notre petit appartement et de ses longs rideaux dorés qui s’éloignaient de la fenêtre et offraient une vue rapprochée sur les eaux vertes de la Seine. Je me suis souvenu à quel point notre choix de rester là-bas avait été parfait et beau. Je me sentais seul et au bord des larmes.

Et puis, je me suis souvenu de la façon dont les Bateaux-Mouches jouaient de la musique d’opéra exagérée à ce détour particulier de la rivière et à quel point la musique était si ridiculement forte que nous riions aux éclats à chaque fois.

À l’époque, j’ai pris une photo de Caitlin à notre fenêtre.

Aujourd’hui, j’ai pris une photo d’aujourd’hui.

Il y a un hôtel à Miami – The Betsy – qui appartient au fils de l’écrivain Hyam Plutzik. Le logo de l’hôtel est une ligne écrite par M. Plutzik, une ligne me revient souvent :

N’attendez plus. Ça c’est le bonheur.

-Maryanne

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