Markus Krösche réagit vivement à Knut Kircher

Lukas Hradecky haben sie bei der Eintracht in guter Erinnerung behalten. Der Torwart, der zwischen den Pfosten stand, als der Klub 2016 gegen Nürnberg den Abstieg abwendete und 2018 die Bayern im Pokalfinale bezwang, erfreute sich wegen seiner umgänglichen Art, diverser Freibier-Aktionen und Grilleinladungen in Bockenheimer Hinterhöfe größter Beliebtheit sowohl in der Kabine als auch beim Fanvolk in der Kurve.

Am siebten Bundesligaspieltag bestritt der Finne beim Wiedersehen mit seinem alten Arbeitgeber sein 300. Bundesliga-Spiel. Im Trikot der Werkself aus Leverkusen, der er sich vor sechs Jahren anschloss, hätte der Fußballprofi dabei beinahe eine Schlusspointe initiiert, die nur nach Geschmack des Frankfurter Lagers gewesen wäre.

Aus einem Abschlag Hradeckys, der dem vor ihm postierten Verteidiger Jonathan Tah mit Wucht in den Rücken geschossen hatte, so dass der Ball zurück in den Strafraum flog, entspann sich ein veritabler Streitmoment. Hugo Ekitiké war nach Hradeckys Slapstick-Einlage in der Nachspielzeit Richtung Tor gesprintet, um die Kugel ins verwaiste Tor zu köpfen. Der ihm hinterhereilende Tah drückte dem in die Luft gestiegenen Frankfurter mit dem Arm aber so in den Körper, dass der Stürmer die Balance verlor und den Angriff nicht planmäßig zu Ende führen konnte.

Als Ekitiké unmittelbar vor der Torlinie mit dem Rücken auf dem Boden lag, trat ihm Tah auch noch auf die Brust. Schiedsrichter Felix Brych, der zuvor schon zwei Elfmeter gepfiffen hatte, ließ weiterspielen, eine Überprüfung der Aktion anhand der Videobilder blieb aus.

„Ich schätze Felix als Schiedsrichter sehr, aber heute bin ich sprachlos“, zürnte Dino Toppmöller hinterher, als das 1:2 und (damit die zweite Saisonniederlage) feststand. „Es war ein klares Foul“, monierte der Trainer der Eintracht. „Leider waren nicht alle auf dem Feld heute in Topform. Das hätte dieses Spiel verdient gehabt“, lautete seine unverhohlene Kritik an Brych. „Hugo steht in der Luft, dann kommt der Kontakt von hinten. Dadurch hat er drei Meter vor dem leeren Tor die Balance verloren.“

Ce qui a incité Markus Krösche à répondre durement : « Il est compréhensible que Knut Kircher veuille protéger ses arbitres en soi. Dans ce cas, il rend un mauvais service à ses arbitres et au football dans son ensemble », a déclaré le directeur sportif de l’Eintracht. “Si, rétrospectivement, cette action relève du pouvoir discrétionnaire de l’arbitre, alors cela ouvre la porte à un arbitraire préjudiciable au football.”

Le match était un « symbole de la ligne manquante ainsi que des épreuves et tribulations entourant le VAR ». « S’il y a deux fautes relativement mineures dans la première moitié du match, il prend la parole et intervient. Il ne se passe rien dans les arrêts de jeu. Dans le cadre du traitement de l’autre scène, le VAR doit intervenir dans une telle situation à ce moment-là. Cela reste donc incompréhensible et inacceptable. Cela nuit au jeu», a déclaré Krösche.

À la cinquième minute, Leverkusen obtenait un penalty de Brych après avoir regardé l’écran pendant trois minutes. Selon son interprétation, la défenseure Junior Dina Ebimbe a fait tomber Amine Adli, qui le dépassait par derrière, avec son pied alors qu’il se précipitait pour tirer ; Victor Boniface a échoué à cause de Kevin Trapp. Peu de temps après, Omar Marmoush a donné l’avantage à Francfort – également sur penalty (16e minute), toujours grâce à l’intervention de l’assistant vidéo (VAR), qui avait fait remarquer à Brych qu’Andrich avait commis une faute sur l’Egyptien, ce qu’il n’avait pas fait. observé.

Leverkusen a ensuite inversé la tendance avec des buts d’Andrich (25e) et de Boniface (72e), résultant d’une maîtrise accrue du jeu en augmentant le rythme et en changeant de position offensive. Avec un score de 26:9, le Bayer a réussi nettement plus de tirs au but que Francfort, qui est resté malgré tout dangereux, et sa frustration était d’autant plus grande avec le penalty manqué dans les arrêts de jeu. «C’est fou, fou, fou. “Je suis seul devant le but, c’est un penalty et un carton rouge”, a cité la chaîne de télévision Sky Ekitiké.

Dans une interview accordée à ESPN, le joueur offensif de 22 ans a également déclaré : « Il m’a poussé, c’est pour ça que je tombe. J’avais tellement confiance en moi pour jouer le ballon. J’ai le sentiment d’avoir été traité injustement. » Ekitiké a déclaré que l’équipe méritait de recevoir des points lors du sixième match consécutif en fonction de sa performance. Ainsi, après sept matches de championnat, il reste encore 13 points, ce qui est suffisant pour que le milieu de terrain supérieur du tableau soit en contact visuel avec le groupe de tête dirigé par le FC Bayern et le RB Leipzig (17 points chacun).

« Leverkusen était plus dominant et avait de meilleures chances de marquer. Mais si Heki continue à faire ça, nous repartirons avec un 2-2″, a résumé Mario Götze. Lui aussi aurait espéré que Brych, qui avec 347 matches arbitrés et quintuple «arbitre de l’année» est l’un des représentants les plus expérimentés de sa profession dans ce pays, reviendrait au moins sur la scène. Götze a appelé ses coéquipiers à ne pas se laisser décourager longtemps par cet échec. Vous pourriez au moins être « raisonnablement satisfait ».

“Nous devons accepter la défaite et nous y parviendrons”, a déclaré Toppmöller. Il “abordera également les choses dans l’analyse que nous pouvons améliorer nous-mêmes”. Il était « très déçu » du résultat, mais « fier de la performance de cette très jeune équipe ». Ils « ont montré lors de deux matches contre les meilleures équipes européennes que nous pouvions rivaliser à ce niveau ».

Le match international se poursuit ce jeudi, vraisemblablement contre un challenger pas si fort. Ensuite, les champions de Lettonie Riga FS s’affronteront dans l’arène de la forêt de la ville (18h45 dans le téléscripteur en direct FAZ de la Ligue Europa et sur RTL+). Tout autre chose qu’une victoire entraînerait de futures discussions.