Même le dernier jour, Durango était plein de monde

Parce que c’était le dernier jour, la matinée à Durango n’a pas commencé différemment. La 59e édition du salon se clôturera dimanche et, comme le dit le proverbe, « du cou d’hier, la tête ». Nuages ​​dominants, mauvais temps, parapluies et vestes à proximité et plein de campagne.

Pour trois jours intenses, le programme n’indique pas de fatigue. Les créateurs seront aux guichets, aujourd’hui jusqu’à 18h00, date à laquelle Landako fermera ses portes pour faciliter l’accueil des personnes derrière le stand. De la même manière, les amateurs de culture trouveront d’ici là une programmation riche.

Comme d’habitude, les présentations de livres débuteront à 11h00 et, toutes les 30 minutes, diverses œuvres littéraires seront exposées sur le site situé à gauche de Landako. Alaitz Melgar sera le premier avec le livre « Josefa neskame », qui se concentre sur la recherche sur la vie de la grand-mère, et Maddi Sarasua viendra ensuite avec « Biharraren hegietan », avec quatre exemplaires de la collection World Poetry Kaierak traduits à Susa 2024 (Anne Hébert, Giorgos Seferis, Manuel Vazquez Montalban, Jacques Prévert), sera repris par le même éditeur avec le recueil Gambila ; Pamiela prendra le relais avec ‘Mamuki’ et midi sera rattrapé. Alaia Martin reviendra de pause avec l’illustration de l’album ‘Puf’. Dans l’après-midi, entre autres, Asel Luzarraga et John Andueza parleront de « Azken portuko postdata », écrit à quatre mains, et l’essai « Autour de la ville d’Elkano », écrit par Ander Izagir et traduit par Julen Gabiria, sera détaillé. par les deux.

En plus de cela, ils compléteront la section littérature des éditions Saguganbara Denonartean et présenteront « Lamiak eta emagina » et « Irati » de Talaia Paul Urkijo. Avec l’œuvre ‘L’Art du film’

D’autres disciplines y participeront également, principalement le théâtre à Szenatokia et les offres pour les plus petits à Saguganbara. L’audiovisuel, bien sûr, à Irudene, qui est proche de Landako. L’offre n’est pas minime puisque le documentaire sur le groupe Itoiz sera diffusé dans la matinée et qu’à midi sera présentée la série “Irabazi arte” de l’EITB.

La 60ème Foire, dans la tête

Chaque édition est spéciale, chaque année pour des raisons différentes, et l’organisation a profité de cette 59e édition pour actualiser autant que possible le tableau de la situation des créateurs, afin qu’il soit également utile pour l’avenir de concevoir des stratégies. L’organisation a identifié certains défis, comme les files d’attente pour entrer à Landako et Beñat Gaztelurrutia a déclaré savoir « quoi et où nous avons amélioré » pour les années à venir.

Peut-être que les premiers indices arriveront dans l’évaluation qui arrivera vers midi, sinon la 60e édition qui aura lieu en 2025 sera la première à commencer à donner des réponses. Selon le calendrier, la date sera un jour de moins que d’habitude et, comme cette année, elle proposera un programme sur quatre jours.