Métiers sociaux et de santé : premiers en termes d’employabilité

2024-08-06 14:28:11

Prime pour l’employabilité. Les diplômes des professions de santé (catégorie ministérielle qui comprend également certaines professions sociales) se confirment, quoique avec un léger recul, comme les qualifications les plus sûres pour ceux qui recherchent immédiatement un emploi également dans le tiers secteur.

La part des diplômés pouvant compter sur un contrat de travail un an après l’obtention de leur diplôme s’élève à 76,8% contre une moyenne de 38,5% pour toutes les autres filières universitaires. Presque le double en termes de pourcentage. Ceci est certifié par le XXVIe rapport annuel du consortium interuniversitaire Almalaurea de Bologne sur le profil et la situation professionnelle des titulaires du titre de docteur. Les 22 filières d’études du domaine sanitaire – divisées à leur tour en quatre domaines de soins infirmiers et obstétricaux, réadaptation, technologie et prévention – garantissent au tiers secteur une série de profils indispensables pour les activités avec les mineurs, les personnes âgées, les détenus, les immigrés, les personnes handicapées ou souffrant de dépendances. Tout d’abord celui des éducateurs professionnels. Sans compter les infirmières, désormais introuvables, demandées par les coopératives sociales œuvrant dans le domaine des soins intégrés à domicile.

Au total, la majorité des 16 242 diplômés en 2022 (en baisse de 1,7% par rapport aux 12 331 en 2021) ont déjà un emploi après avoir obtenu leur diplôme de premier niveau (72%) tandis que seulement 4,8% travaillent et poursuivent leurs études pour obtenir un master de deuxième niveau. degré. La réduction du nombre de diplômés est cependant inférieure à celle des facultés générales qui, au contraire, montrent un moins 2,1% selon les données traitées par Angelo Mastrillo, professeur d’organisation des professions de santé à Bologne et secrétaire de la Conférence nationale des filières de santé. métiers.





Si l’on examine les différentes formations, il apparaît que 74,1 % des diplômés de la formation d’éducateur professionnel ont un emploi un an après avoir terminé leurs études. Un excellent pourcentage même s’il est en baisse depuis quatre ans après avoir atteint 83,1 % en 2019. Encore mieux pour celles qui ont suivi des cours pour devenir infirmières : 77,7 % sont déjà en service après douze mois. Dans ce cas, il faut cependant souligner la baisse en termes d’employabilité de 2,8% par rapport à l’enquête précédente. Bon aussi pour trois personnalités de plus en plus présentes parmi les ressources humaines des entreprises à but non lucratif du domaine socio-sanitaire : thérapeute neuropsychiatrique développemental (81,1%), orthophoniste (76,9%) et technicien en réadaptation psychiatrique (74,7%). Ce dernier profil, bien qu’enregistrant un léger repli par rapport à 2021 comme les deux autres, est le seul qui montre un signe positif de croissance par rapport à 2007. Au cours des seize dernières années, l’emploi un an après l’obtention du diplôme d’agents de santé spécialisés dans les interventions visant à promouvoir l’autonomie personnelle des sujets souffrant de handicaps psychiatriques est passé de 69,8% du total des diplômés à 74,7%. Une indication pour ceux qui s’apprêtent à s’engager dans les métiers de la santé.

Photo: unsplash



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