Mettre en lumière le syndrome des ovaires polykystiques : Témoignage de deux sœurs rouennaises

Mettre en lumière le syndrome des ovaires polykystiques : Témoignage de deux sœurs rouennaises

En France, 1 femme sur 10 est atteinte du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK). Pour autant, cette maladie hormonale, première cause d’infertilité chez la femme selon l’Inserm reste encore inconnue et sans traitement. Eva et Solène Lecoq, deux Rouennaises, participent à mettre en lumière ce syndrome en livrant leurs conseils et leur témoignage sur les réseaux sociaux.

« Le SOPK a pourri mes années de fac »

Les deux sœurs sont en avance. Le rendez-vous est pris dans un bar sur les quais de Rouen (Seine-Maritime). Sans que le sourire ne s’estompe de leur visage, Eva et Solène Lecoq, respectivement âgées de 26 et 31 ans, racontent d’une même voix les multiples péripéties et les conséquences que le SOPK peut avoir sur leur vie. Défini comme un déséquilibre hormonal, il déséquilibre surtout la vie des femmes qui en sont atteintes.

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2024-03-08 08:01:03

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