Metz – Sur Gravity Hill

Metz – Sur Gravity Hill

2024-04-23 22:31:05

de Olivier
le 23 avril 2024
dans l’album

Faut-il faire des voyages shoegaze, merci TIC Tac pourrait désormais être en fait la garantie inconditionnelle d’un véritable regain de popularité Metz juste à cause de la sortie de leur cinquième album studio Sur Gravity Hill en fait, je traverse un peu le toit.

Éclairez votre chemin vers la maison se pose enfin doucement et chaleureusement dans ses bandes de guitare, recherche le duo harmonieux avec Amber Webber d’une manière rêveuse et engageante et, en tant que chef-d’œuvre maison d’un rayonnement particulier et d’un point culminant annuel instantané, cultive la beauté du son esthétique qui est inhérent au shoegaze.
Que Metz apparaître sur le radar d’un public plus large serait mérité et est tout à fait possible, mais le potentiel culminant d’être plus adapté aux masses tient aussi aux 29 minutes précédant cette conclusion, qui, malgré une signature indéniable, ne sont en aucun cas exclusivement typique Metz-Modalités de travail : les Canadiens ont leur noise rock quatre ans plus tard Vente Atlas (dans lequel principalement des collaborations avec Joe Talbot, Mission de Birmanie et Vie d’adulte arrivé) un peu poli (sans lisser les bords) et la crudité impétueuse s’est traduite en un spectre beaucoup plus mélodique et accessible. 99 est, par exemple, “99 Neuf neuf neuf neuf neuf neuf/ Neuf neuf neuf“-Pour cent probablement autant de pop à chanter avec un crochet droit que les intimidateurs de, qui sont toujours brossés à contre-courant Metz cela pourrait probablement être le cas.

Ce qui n’est d’ailleurs pas un extrême extravagant, mais plutôt une facette tout à fait cohérente du contexte et d’une correction de cap fondamentale. Pas de réservation / Love Comes Crashing tourbillonne comme une déclaration en deux parties sur six minutes et demie fabuleuses avec une annonce, se pare de textures hallucinogènes et prend la torsion vers le milieu, relâche le frein à main dans la transe rock plus droite et plonge dans son propre amour sur l’autoroute psychédélique Ma chère amoureuse année subversive. Oeil de verre des rebondissements et des grooves dans le rythme stoïque, où les guitares démarrent comme des machines nébuleuses et oscillent – un tube ? Dans tous les cas, la section rythmique agit alors de la même manière Enlacés (Street Light Buzz)son cadre BLUREMI adapté comme un pas sur la pédale punk rock et la voix d’Alex Edkins n’attaque plus symptomatiquement la structure de manière venimeuse, mais la prend au piège capricieusement.

Dans Mirage Supérieur assimiler Metz avec une touche paisible, des motifs post punk calmes et se cachent dans des harmonies douces-amères et accrocheuses, aussi simplement un peu plus inoffensives qu’avant, tandis que le grondement grungy Plaie serrée est facile à saisir et rapide à saisir (et reste relativement facile à oublier lorsqu’on ne le consomme pas). Tout n’est pas fluide, mais ce n’est pas aussi joliment provocateur que ce à quoi vous êtes habitué de la part du trio canadien – et cela laisse toujours l’impression qu’il y avait plus à faire ; que le groupe s’est rendu un peu trop à l’aise en dehors de sa zone de confort dans une nouvelle faveur avec une aptitude unique nette.
Et encore une fois, après Plus jamais encore avec un facteur étrange et menaçant avec un léger hymne des années 90, mais aussi aussi Éclairez votre chemin vers la maison mène : un saut évolutif parfaitement formé comme point culminant d’un disque de transition ambivalent, mais toujours performant.


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#Metz #Sur #Gravity #Hill
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