2024-04-02 13:00:41
Les trois quarts financent leur subsistance grâce à leur propre emploi
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![Un employé de Porsche AG assemble une Porsche Taycan entièrement électrique à Zuffenhausen](https://i0.wp.com/img.welt.de/img/wirtschaft/mobile250833810/9402506567-ci102l-w1024/Porsche-AG-Produktion-Taycan.jpg?w=1170&ssl=1)
Un employé de Porsche AG assemble une Porsche Taycan entièrement électrique à Zuffenhausen
Quelle: dpa/Marijan Murat
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Qui gagne son argent grâce à son propre travail ? Et qui de l’État ou par l’intermédiaire de proches ? L’Office fédéral de la statistique a collecté des chiffres. Il existe de grandes différences non seulement entre les sexes, mais également entre les personnes issues de l’immigration et celles qui ne le sont pas.
gEn 2023, les trois quarts des personnes en âge de travailler entre 25 et 64 ans en Allemagne gagnaient leur vie principalement par leur propre travail.
Cela s’appliquait à 34,5 millions de personnes (76 pour cent), comme l’annonce désormais l’Office fédéral de la statistique sur la base de son microrecensement annuel. Ainsi, 83 pour cent des hommes de ce groupe d’âge vivaient principalement de leur propre emploi, contre seulement 69 pour cent des femmes. Ces chiffres étaient inférieurs pour les personnes ayant des antécédents migratoires.
Pour huit pour cent des 25 à 64 ans, le soutien familial était la principale source de revenus. Les femmes (13 pour cent) étaient significativement plus susceptibles d’avoir besoin d’un tel soutien que les hommes (2 pour cent).
Tous sexes confondus, six pour cent se finançaient principalement grâce au chômage ou aux allocations sociales. Cinq pour cent supplémentaires vivaient de pensions ou de pensions, quatre pour cent d’allocations parentales ou d’autres prestations telles que l’assistance sociale ou les indemnités de maladie. Un pour cent des personnes âgées de 25 à 64 ans tiraient leur principal revenu de leur propre patrimoine, de leurs revenus de placements ou de leurs revenus locatifs.
55 pour cent des femmes issues de l’immigration vivent de leur propre travail
Il existe de grandes différences non seulement entre les sexes, mais également entre les personnes issues de l’immigration et celles qui ne le sont pas. Environ deux tiers des immigrés en Allemagne depuis 1950 ont gagné leur vie principalement grâce à leur propre emploi, tandis que le chiffre des personnes sans antécédents d’immigration était de 80 pour cent.
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L’écart était particulièrement marqué chez les femmes : 74 pour cent des femmes de la tranche d’âge non issue de l’immigration étaient capables de vivre de leur propre travail, contre seulement 55 pour cent des femmes issues de l’immigration. Pour les hommes, la différence était nettement plus faible, entre 85 et 78 pour cent.
Parmi les descendants de ceux qui ont immigré en Allemagne depuis 1950, un nombre nettement plus élevé de personnes ont pu vivre principalement de leur propre travail, mais la différence entre les sexes était tout aussi significative (84 pour cent contre 67 pour cent).
L’Office fédéral de la statistique invoque les différences liées à l’âge et à la structure des ménages, aux qualifications professionnelles et aux possibilités d’entrée et de promotion sur le marché du travail comme raisons expliquant les écarts dus à l’origine migratoire. L’ampleur des écarts variait également selon la région d’origine.
Le microrecensement est une enquête par sondage dans laquelle environ 1 pour cent de la population allemande est interrogée chaque année. Toutes les informations sont basées sur les déclarations personnelles des répondants.
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