Mikel G. Gurpegui : Critique de ‘Oui, je veux… ou pas’ (2023) : Starry stars

Mikel G. Gurpegui : Critique de ‘Oui, je veux… ou pas’ (2023) : Starry stars

2023-04-28 20:43:34

Si quelqu’un a du mérite dans cette comédie pseudo-romantique pour anciens combattants, ce n’est pas Michael Jacobs, de la deuxième division de la télévision, qui tisse un scénario qui coûte à Dieu et aide à articuler quelques idées et en plus il l’enveloppe dans un une mise en scène qui renforce la grisaille de l’ensemble.

Si quelqu’un a du mérite dans ‘Oui, je veux… ou pas’ c’est bien Stefanie Ryan-Manhim et Quinn Showell, qu’on n’a pas le plaisir de connaître mais qui, en tant que directeurs de casting, les ont convaincus de se lancer dans cette aventure. bateau de tourisme aux personnes qui auraient à exiger d’autres longueurs et voyages. Manhim et Showell doivent être des sorciers car on ne sait pas comment ils ont réuni Susan Sarandon, Richard Gere et Diane Keaton pour cela. Et aussi William H. Macy, qui, bien que n’étant pas une telle star, frôle les rôles d’hommes faibles. Et Emma Roberts et Luke Bracey, qui font ce qu’on leur demande, être jeunes et beaux.

  • Réalisation et scénario :

    Michel Jacobs.

  • Interprètes :

    Emma Roberts, Richard Gere, Susan Sarandon, Diane Keaton.

  • La photographie:

    Tim Suhrstedt.

  • Musique:

    Lesley Barbier.

  • Nationalité:

    UE, 2023.

  • Durée:

    94 m.

“Oui je veux… ou non” a pour seul mérite d’avoir des étoiles. Tout le reste n’a pas d’importance. Bien sûr, des aspects mineurs, comme la seule qui ne semble pas sur le point de bâiller est Susan Sarandon, s’amusant en donnant à son personnage une étincelle de malice. Ou comme Diane Keaton et Richard Gere ne fonctionnent pas comme un mariage fictif (peut-être que Keaton, en tant que productrice exécutive, voulait s’offrir l’avoir comme partenaire).

Le pire, c’est de les voir avec des rôles en papier mâché dans un petit film qui met une demi-heure à assembler son moment clé, quand on découvre des liens qu’on ignorait entre leurs personnages. Puis il ne profite pas de l’enchevêtrement et se retrouve avec six personnages fades qui s’interrogent sur l’essence de l’amour. Vous devez étirer la chose jusqu’à ce que vous atteigniez une heure et demie avec la fin la plus conservatrice possible. Laissez les étoiles traverser la loge et les spectateurs descendent pour rentrer chez eux.



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