Mises en garde contre les tentatives de division du système militaire et de déclenchement d’une guerre civile suite aux assassinats d’officiers de l’armée.

Mises en garde contre les tentatives de division du système militaire et de déclenchement d’une guerre civile suite aux assassinats d’officiers de l’armée.

Les assassinats d’officiers de l’armée sont devenus monnaie courante dans certains pays où politiques et groupes d’intérêts tentent de semer la discorde au sein du système militaire. Ces actes tragiques sont des avertissements flagrants du danger de porter atteinte à la cohésion de l’armée et d’entraîner le pays dans une guerre civile. Dans cet article, nous allons explorer les raisons sous-jacentes de ces assassinats et analyser les conséquences potentielles pour la stabilité de l’État.

Réseau soudanais :

L’expert en sécurité, le général de division Moash Muhammad Hassan Khaled, a mis en garde contre le danger des tentatives visant à semer la discorde au sein du système militaire et à entraîner le pays dans une guerre civile.

Il a déclaré que l’assassinat de deux officiers des forces armées à Nyala et Zalingei est un stratagème derrière lequel se tiennent des mains pécheresses, motivées par la haine et la haine, pour mettre en œuvre des plans visant à détruire le Soudan.

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Deux autres officiers appartenant aux forces armées ont également été exposés à un incident de tir, sans être blessés, près de l’entrée de Kassala. Des sources ont rapporté que des inconnus ont ouvert le feu sur les deux officiers, mais ils n’ont pas été blessés, et l’incident s’est produit dans le Quartier Calhot jeudi dernier.

Les informations indiquaient que les deux officiers avaient le grade de major

Les experts estiment que les ennemis de la patrie, après avoir échoué dans le complot visant à creuser un fossé entre l’armée et les Forces de soutien rapide, ont eu recours à des complots et adopté la méthode des assassinats en ciblant les hauts gradés des forces armées pour attiser la discorde et saboter les relations entre les composantes du système de sécurité dans le pays.

L’expert en sécurité a estimé que la méthode de mise en œuvre, la méthode de ciblage et l’ampleur de sa planification confirment que quelqu’un dirige un stratagème visant à déclencher la discorde et la haine entre l’armée et les Forces de soutien rapide.

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Il a expliqué que ce qui se passe est une affaire dangereuse destinée à séditionr l’institution militaire, et qu’un arrangement est en cours de préparation pour un conflit entre l’armée et les Forces de soutien rapide, et donc ces parties auront réussi à fragmenter et diviser le Soudan.

Khaled a souligné que la prise de conscience de l’institution militaire suffit à épargner au pays la menace d’une guerre civile à laquelle on se prépare.

Jeudi soir, des hommes armés ont assassiné le lieutenant-colonel Ahmed Bakhit à Zalingei, au Darfour central.

L’incident survient quelques jours après qu’un colonel des forces armées a été abattu par des assaillants inconnus à Nyala, dans le sud du Darfour, alors qu’il résistait au pillage de sa voiture.

Un responsable de l’État du Darfour central a déclaré : « Des hommes armés non identifiés ont ouvert le feu sur le lieutenant-colonel Ahmed Bakhit au marché du quartier Al-Mohafazen dans le centre de Zalingei, ce qui a entraîné sa mort sur le coup et sa voiture a été pillée.

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Il a noté que les auteurs armés avaient fui à l’extérieur de Zalingei et qu’une force conjointe de l’armée et des Forces de soutien rapide les poursuivait.

L’officier décédé appartient à la 21e division d’infanterie et dirige un groupe spécial pour les opérations militaires dans l’État du Darfour central.

Le 10 février dernier, 3 soldats ont été blessés lorsqu’un convoi transportant le gouverneur du Darfour central, Saad Adam Babiker, a été abattu à Jebel Marra.

L’État, qui est contrôlé par le Mouvement de libération du Soudan sous la direction d’Abdul Wahid Nur, connaît un chaos sécuritaire et une prolifération massive de groupes armés, dont les membres sont accusés d’avoir commis des violations contre des dizaines de civils.

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