Mpox : Une nouvelle campagne de marketing alarmiste pour relancer la vente du vaccin contre la variole

2024-08-17 13:22:41

Il y en avait d’autres avant, mais le ère d’épidémies et de “pandémies” moderne, dans lequel le contrôle social, le profit et l’accumulation de pouvoir pour le établissement santé mondiale, a débuté en 2005 avec l’épidémie de grippe aviaire (les oiseaux, bien sûr). Puis, en 2009-2010, est arrivée la grippe, cette fois-ci causée par le porc, le plainte A. En 2019, vous savez, ils ont accusé un pangolin (jusque-là presque personne ne savait de quoi il s’agissait) et ça a foiré. La grande pandémie de Covid-19.

Maintenant c’est ton tour au singe et à la variole que tu peux transporter, appelé Mpox. Tous ces événements sanitaires mondiaux majeurs et graves ont plusieurs points communs… et une différence essentielle. Attention:

-Tout commence par un avertissement de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) : Le directeur général de l’OMS déclare un urgence de santé publique d’importance internationale en raison de l’épidémie de variole du singe (mpox). Au fil du temps, on a constaté qu’il s’agissait de campagnes de marketing de peur pour satisfaire les souhaits des financiers de cette organisation, peut-être le plus corrompu de la planète.

L’OMS est une organisation née publique, financée par les États membres – presque tous sur la planète – mais qui a fini par être presque entièrement privatisée par les sociétés pharmaceutiques et les « philanthropes » d’intérêts sombres comme Bill Gates (contributeur privé maximum de fonds à cette entité).

-Il nombre de cas quotidiensson origine et sa localisation, surtout lorsque le problème se rapproche de l’Europe ou se situe déjà sur le Vieux Continent, et encore moins lorsqu’il touche notre pays. Une urgence « mondiale » a été déclarée, mais n’a-t-elle pas été précipitée étant donné que l’épidémie survient dans un pays d’Afrique ? N’affecte pas la planète entière. Il semble que plus l’OMS se privatise, plus vite elle déclare de nouvelles urgences sanitaires mondiales…

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-Pour cela, la participation du médias. Et, par exemple, il ne faut pas oublier qu’il existe en Espagne des médias très puissants qui, il y a quelques mois seulement, après les énormes critiques lancées contre le Vaccins contre le covidont signé des accords avec pharmaceutiqueje pense à GlaxoSmithKline -l’un des principaux fabricants de vaccins-, pour communiquer sur l’importance de ces.

-Diffuser l’idée que Les vaccins sont pratiquement la seule action préventiveépidémiologique et sanitaire qui peut se développer face à tout problème infectieux. La presse sanitaire (liée aux laboratoires de fabrication de vaccins auxquels elle donne toujours de la place), a déjà commencé avec la stratégie -si jamais elle l’a abandonnée, ce qu’elle n’a pas fait- : Las vaccins contre lui COVID-19[feminine se sont révélés être un outil fondamental pour réduire les décès dus à la pandémie.

La nouvelle, refrain habituel d’ailleurs, se conclut en six paragraphes, sans citer la source originale qui, avec une grande probabilité, sera une fabricant de vaccins puisque ce sont eux qui diffusent cette information intéressante.

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Et à ce stade, nous devons nous arrêter à la question de décès excédentaires au cours des dernières années. En juin dernier, un étude basée sur des données de mortalité toutes causes confondues de « Notre monde en données » provenant de 47 pays du monde occidental (qui ont enregistrements fiables). Notez que le La surmortalité reste élevée dans le monde occidental pendant trois années consécutives.

Un fait qui n’est pas cohérent avec le fait que sa cause principale est une épidémie virale respiratoire. La mise en œuvre de mesures de confinement strictes et de vaccins massifs contre le Covid-19 qui auraient dû minimiser l’impact du SRAS-CoV 2 ne semble pas avoir réussi à le faire, mais plutôt à constituent l’un des soupçons pour un impact anormalement prolongé dans lequel le plus grand la surmortalité ne se produit pas la première année.

-Quelque chose d’important qui change par rapport aux épidémies précédentes : les « pandémies ». Il existe un vaccin contre le virus de la variole.. Ce n’est pas comme avec la grippe A ou le Covid, où de tels vaccins n’existaient pas et ont dû être inventés à la volée (avec le des résultats désastreux connus).

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Le virus Monkeypox a été découvert au Danemark (1958) chez des singes élevés pour la recherche et le premier Cas humain Mpox signalé était celui d’un enfant de neuf mois en République démocratique du Congo (RDC, 1970).

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Après le éradication de la variole en 1980 et le fin de la vaccination contre la variole Dans le monde entier, la Mpox est régulièrement apparue en Afrique centrale, orientale et occidentale. Une épidémie mondiale s’est produite en 2022-2023.

En bref, tout indique qu’il existe un intérêt à développer une nouvelle campagne mondiale de marketing de peur pour revendre un vaccin, celui de la variole. Eh bien, et tout ce qui accompagne l’attirail pandémique que nous connaissons bien.

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