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Nadia Toffa, sa mère Margherita se met à nu dans le livre “Ne perds pas de temps à pleurer”. Entretien

by Nouvelles

2024-11-25 12:16:00

L’entretien par Entreprise à la mère de Nadia Toffa

C’était le matin du 13 août 2019 lorsque Nadia Toffa il est mort à seulement 40 ans, après une bataille avec un cancer a duré deux ans. Le présentateur est journaliste d’enquêtes télévisées, il s’est battu jusqu’au bout face à un destination injuste qui ne lui laissait aucun espoir. Déterminée et courageuse, joyeuse et toujours optimiste, avec une grande envie de vivre et de faire de son mieux pour les autres, pour ceux qui ne peuvent pas dire un mot. Pour la soutenir dans les moments les plus sombres et les plus tristes mère Margueritequi s’est battu pour elle et avec elle jusqu’à ce qu’il la voie s’endormir pour la dernière fois.

UN Marguerite guerrière tout comme Nadia, qui continue de faire vivre le prénom de sa fille à travers les Fondation Nadia Toffaune organisation à but non lucratif qui, à travers des événements, collecte des fonds pour la recherche contre le cancer. ” Me demandait Nadia. Elle me répétait toujours : ” Maman, je te laisse tellement de choses à faire, si je vis, on les fera ensemble, sinon il faudra y penser “, dit-elle. , se laissant aller sans aucun filtre. Et c’est suite aux souhaits de Nadia qui a décidé, pour la première fois, d’écrire un livre avec le journaliste Mauro Valentini intitulé “Ne perds pas de temps à pleurer“. Edité par Solferino et publié il y a quelques jours, c’est une histoire intime et personnelle dans laquelle sont également racontés les vingt derniers mois de la vie de Nadia.

Sur la photo de gauche à droite, mère Margherita et Nadia Toffa

Sur la photo de gauche à droite Nadia Toffa avec sa mère Margherita

Pourquoi avoir choisi ce titre ?

“Il m’a été offert par Nadia. Avant de partir, elle m’a dit : ‘Maman, la vie est si sacrée et si étonnamment merveilleuse, qu’il ne faut jamais la gâcher. Tu ne peux pas perdre de temps à pleurer, tu me ferais du mal'” .

De quoi s’agit-il et que veut-il transmettre ?

“C’est le livre de notre famille, une famille normale, avec ses problèmes, ses joies et ses peines. C’est la vie, celle vécue dans toutes ses nuances. Il se veut un message de sérénité pour tous ceux qui se retrouvent faire face à une perte aussi grande que la perte d’un enfant. Nous devons réagir à cette douleur en mettant en œuvre quelque chose d’important pour notre propre bien et pour celui de ceux qui ne sont plus là.

Comment est née l’idée ?

“De la rencontre avec l’écrivain et journaliste Mauro Valentini. Après avoir remporté il y a quelques mois un prix dédié à Nadia, il m’a contacté pour me rencontrer en personne. Ainsi, entre une conversation et une autre, nous avons décidé de donner forme à ce qu’il a toujours été un de mes grands désirs.”

Pensez-vous que c’est Nadia qui vous a accompagné dans ce voyage ?

“Rien n’arrive jamais par hasard. Elle me guide depuis là-haut et elle l’a fait cette fois aussi. Je suis sûr qu’elle voulait ça de moi, elle savait que ce serait bien pour moi d’exprimer mes et nos expériences les plus profondes. C’était un peu comment faire mon deuil, je me suis toujours senti proche de moi, elle m’a soutenu et conseillé sans son aide et celle du journaliste Mauro, je n’aurais jamais pu écrire un livre.

Y a-t-il un chapitre que vous aimez plus qu’un autre ?

“Oui, celui du souvenir lié à l’une de mes deux sœurs, Marilena. J’ai pris soin d’elle comme d’une fille et quand, il y a quarante-six ans, elle nous a quittés à cause d’une grave maladie, ce fut pour moi une grande souffrance que Je n’y aurais jamais pensé à réessayer, mais cela m’est encore arrivé.”

Quel est votre meilleur souvenir de Nadia ?

“Le moment de sa naissance. J’ai prié jusqu’au bout pour avoir une autre fille, à l’époque il n’était pas possible de connaître le sexe de l’enfant à naître. Quand elle est venue au monde, il y avait quelque chose de magique entre nous. Maintenant, elle est un ange splendide qui protège notre famille et nous aide à surmonter son absence.”

Combien de choses devrez-vous accomplir pour elle ?

“Beaucoup et je ne sais pas si je pourrai tous les faire. J’ai encore beaucoup de textes écrits par elle que j’aimerais publier, mais ce n’est pas si simple. J’ai toujours peu de temps et ce que j’ai gauche, je voudrais aussi le dédier à ma petite-fille, une créature qui donne de la joie à mon cœur.”

Quelle a été la dernière chose que Nadia et vous vous êtes dite ?

“Je ne peux pas te le dire. Je sais seulement que nous nous sommes regardés dans les yeux, nous nous sommes embrassés et embrassés. Je l’ai caressée, je l’ai câlinée et je lui ai donné mon amour. Elle me disait souvent : ‘Maman, je suis vraiment désolée d’avoir de te quitter. Promets-moi de ne pas trop souffrir et de ne pas pleurer, ce serait un tourment pour moi, je serai constamment à tes côtés, ne l’oublie jamais et souviens-toi de toujours pardonner à tout le monde.



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