La Neue Nationalgalerie de Berlin accueille la première grande rétrospective de l’œuvre de Nan Goldin en Allemagne, intitulée Cela ne finira pas bien. Se déroulant du 23 novembre 2024 au 6 avril 2025, l’exposition offre un aperçu complet de l’œuvre emblématique de Goldin, qui s’étend sur quatre décennies et explore les thèmes de l’intimité, de l’amour, des traumatismes et de la dépendance.
Les images de Goldin capturent les complexités de l’expérience humaine avec une tendresse brute. Son œuvre phare, La ballade de la dépendance sexuellequi documente la vie à New York, Berlin et dans d’autres villes, reste un point de repère de la photographie contemporaine. L’exposition comprend également des pièces telles que Mémoire perduequi approfondit le sevrage de la drogue, et sirènesexplorer l’extase liée à la drogue.
Nan Goldin, Elephant Mask, Boston (Elephantenmaske, Boston), 1985, Photographie, aus der Serie « Fire Leap » ©Nan Goldin. Avec l’aimable autorisation de l’artisteNan Goldin, Gina au dîner de Bruce, NYC (Gina au dîner de Bruce, NYC), 1991, photographie, de la série « The Other Side » © NanGoldin. Avec l’aimable autorisation de l’artiste
Organisée par Fredrik Liew, l’exposition est installée dans six espaces distincts conçus par l’architecte Hala Wardé. Chaque espace est dédié à différents aspects de la carrière de Goldin, créant une expérience immersive qui reflète l’approche de l’artiste en matière de narration à travers les arts visuels. L’utilisation caractéristique de Goldin des diaporamas, qu’elle a commencé à présenter à New York dans les années 1980, est au cœur de l’exposition, nombre de ses œuvres étant présentées sous forme de présentations dynamiques à plusieurs niveaux.
En plus de son impact sur le monde de l’art, l’activisme de Goldin à travers PAIN (Prescription Addiction Intervention Now), un groupe qu’elle a fondé pour protester contre la crise des opioïdes, a fait d’elle une figure centrale dans la résolution des problèmes sociaux. Son travail continue d’influencer non seulement la photographie mais aussi la mode et la culture visuelle en général.
Nan Goldin, Greer modeling Jewelry, NYC (Greer Jewelry Modeling, NYC), 1985, photographie, de la série « The Other Side » © Nan Goldin. Avec l’aimable autorisation de l’artisteNan Goldin, The Hug, New York City, 1980, photographie, tirée de la série « The Ballad of Sexual Dependency » © Nan Goldin. Avec l’aimable autorisation de l’artiste
Goldin a un lien particulier avec Berlin, où elle a vécu au début des années 90 et y revient fréquemment depuis. La ville est depuis longtemps un lieu d’importance personnelle et artistique pour l’artiste, qui façonne à la fois sa vie et son œuvre.
Cela ne finira pas bien est un témoignage de la capacité durable de Goldin à capturer la beauté brute et la complexité de l’expérience humaine, offrant aux téléspectateurs un voyage profond à travers sa remarquable carrière.
Nan Goldin, C en Madonna dans la loge, Bangkok, 1992, photographie, de la série « The Other Side » © Nan Goldin. Avec l’aimable autorisation de l’artiste
Le Nouvelle Galerie Nationale Berlin présente la première grande rétrospective de l’œuvre de Nan Goldin en Allemagne, intitulée This Will Not End Well. L’exposition, qui se déroulera du 23 novembre 2024 au 6 avril 2025, offre un aperçu complet du travail de Goldin, s’étalant sur plus de quatre décennies au cours desquelles il a exploré des thèmes tels que l’intimité, l’amour, les traumatismes et la dépendance.
Les images de Goldin capturent la complexité de l’expérience humaine avec une tendresse brute. Son œuvre la plus emblématique, The Ballad of Sexual Dependency, qui documente la vie à New York, Berlin et dans d’autres villes, reste une étape importante dans la photographie contemporaine. L’exposition comprend également d’autres pièces telles que Memory Lost, qui aborde le sevrage de la drogue, et Sirens, qui explore l’extase de la drogue.
Nan Goldin, Pique-nique sur l’Esplanade, Boston (Picknick aufder Esplanade, Boston), 1973, Photographie, aus der Serie « The Other Side » © Nan Goldin. Avec l’aimable autorisation de l’artiste
Organisée par Fredrik Liew, l’exposition s’étend sur six espaces conçus par l’architecte Hala Wardé, chacun dédié à différents aspects de la carrière de Goldin, créant une expérience immersive qui reflète son approche narrative à travers l’art visuel. L’utilisation caractéristique de Goldin des projections de diapositives, qu’il a commencé à présenter à New York dans les années 1980, est au cœur de l’exposition, présentant ses œuvres sous forme de présentations dynamiques et multidimensionnelles.
En plus de son influence dans le monde de l’art, Goldin a été une figure clé de l’activisme social à travers PAIN (Prescription Addiction Intervention Now), un groupe qu’elle a fondé pour protester contre la crise des opioïdes, qui a fait d’elle une référence dans la lutte pour les causes sociales. . Son travail continue d’avoir un impact non seulement sur la photographie, mais aussi sur la mode et la culture visuelle en général.
Nan Goldin, Ensoleillé dans ma chambre, Paris, 2009, photographie © Nan Goldin. Avec l’aimable autorisation de l’artiste
Goldin entretient un lien particulier avec Berlin, une ville où il a vécu au début des années 90 et où il revient fréquemment depuis. Pour elle, Berlin a été un lieu d’une grande importance personnelle et artistique, qui a profondément influencé sa vie et son œuvre.
This Will Not End Well témoigne de la capacité de Goldin à capturer la beauté brute et complexe de l’expérience humaine, offrant aux téléspectateurs un voyage profond à travers sa carrière exceptionnelle.
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