Not a Slave, une critique de son disque Creature (2023)

Not a Slave, une critique de son disque Creature (2023)

2023-09-15 09:46:21

Il y a huit ans, ils sortaient leur précédent album, “Réapparition”. Entre les deux, il y a eu des pandémies, des confinements, des groupes parallèles… Le groupe lui-même l’a expliqué dans le communiqué qui accompagnait le premier single qu’il a sorti. « Nous avons traversé de nombreux problèmes personnels, même dû nous éloigner de la scène, ce qui rend cet album vital pour retrouver le moral, la confiance en soi et la faveur du public. “Nous avons une foi aveugle que nous n’allons pas décevoir, nous avons fait de notre mieux.”

Bien sûr, ceci “Créature” C’était un album attendu comme l’eau de mai par les adeptes du quintette Mostoleño, qui continue de maintenir la formation établie en 2007 : Gordo (basse), Niño (batterie), Ivi, Snoker (guitares) et Carlitos (chant). Le chanteur signe une fois de plus toutes les chansons de la nouvelle œuvre, qui une fois écrites ont été arrangées ensemble dans la salle de répétition. Et une fois poli, gravé aux États-Unis. Le groupe s’est lancé dans la compétition et s’est envolé pour Los Angeles pour se remettre entre les mains du producteur Raúl Cuellar (Riff Audio), connu pour son travail avec des groupes comme Fishbone, NOFX et The Casualties. « Il a été difficile de s’habituer à une autre façon de travailler. Mais une fois que nous nous sommes tous compris, nous pensons que cela n’aurait pas pu être plus satisfaisant.ils le commentent.

Le résultat est “Créature”, une douzaine de sujets que nous décortiquerons ci-dessous. Comme il est d’usage dans Pas un esclaves’ouvre sur une introduction tirée directement de l’audio d’un film, en l’occurrence de « Le jeune Frankenstein » (Mel Brooks, 1974). Tout cela pour entendre Rogelio Hernández (le doubleur de Gene Wilder dans la version espagnole du film en question) nous présenter la “Creatura”, la chanson d’ouverture au rythme effréné (d’où est tiré le titre de l’album) où le groupe s’exprime sur le années, de sa sécheresse musicale jusqu’à son retour actuel. “Dans mon coeur” C’est un adieu à un ami disparu pour toujours. Touches acoustiques ouvertesn « Parmi les morts » avant d’accélérer pour raconter une histoire d’amélioration personnelle. Les clins d’œil au septième art reviennent avec “Liberté”la seule version de l’album, tirée de la bande originale de “Django Unchained” (Déclaration anti-esclavagiste personnelle de Quentin Tarantino en 2012). Les braqueurs de banque reçoivent leur tribut particulier en “Héros”. « Des hordes de punks » est l’avant-première que l’on a pu entendre avant les vacances d’été avec la collaboration de David, chanteur des New Yorkais The Casualties. “Tueur” Il nous présente une fois de plus la vie d’un oublié de la société et de l’histoire. Déclarations de principes dans « Les maîtres des rues », des riffs dévastateurs sur “Quémalas”et des guitares épiques pour conclure “Son cadeau.”

“Créature” Il s’agit d’une revue des styles qui Pas un esclave a défendu tout au long de sa déjà longue carrière : street punk, Oi!, hardcore, métal… Le groupe a mis tous ses efforts dans ce retour, et pas seulement dans l’enregistrement de l’album. Cette année, il fera un seul concert de présentation au WiZink Center de Madrid le 13 octobre. Un pari pour remplir la salle, prendre un bain dans la foule et faire un pas de plus entouré des vôtres.



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