Nous sommes tous des assassins — VENEZUELA, LE JUSTE TÉHÉRAN A GAGNÉ, ILS ASSASSINÉ LE JUSTE TRENTIN, ILS TIRENT LES JUSTE

2024-08-01 09:47:00

VIDÉO DE FULVIO GRIMALDI :

Le jour où l’opposition vénézuélienne pourra organiser quelque chose comme cette manifestation bolivarienne à la veille des élections, elle pourra PEUT-ÊTRE envisager une autre option qu’un énième coup d’Etat, comme Guaidò, lubrifié par les ONG issues du Département d’État, irrité et béni par l’Église catholique, mené par des agents de la CIA et du Mossad et inexorablement voué à l’échec. Dans le cas du fantoche américain Juan Guaidò, indécemment reconnu immédiatement par notre gouvernement, capable de rassembler autour de lui pas plus de deux douzaines de sous-officiers pour la conquête du pouvoir, destiné au ridicule.

En attendant, secouons la poussière toxique de nos courtisans politico-médiatiques de Zelensky et Netaniahu qui déchirent leurs vêtements sur la « mort de la démocratie au Venezuela ».

Cette vidéo s’intitule « Nous sommes tous des assassins!, » tel était le titre d’un film d’André Cayatte de 1952, formidable dénonciation d’un monde qui niait, avec ses erreurs et ses horreurs, ce pour quoi tant d’êtres humains dans notre monde s’étaient battus quelques années plus tôt. Crime commun, crime économique, crime politique. L’assassinat comme méthode de domination structurelle et stratégique.

Oui, c’est précisément ce que nous voyons aujourd’hui illustré par les horreurs commises par les monstres sionistes en Palestine et, avec un taux de barbarie atteignant le paroxysme, par l’assassinat à Téhéran d’Ismail Haniyeh, leader de la libération de son peuple. Cerise sur le massacre israélien (attribué à une roquette du Hezbollah qui s’est avérée ne pas provenir du Hezbollah) de 12 garçons druzes syriens dans le Golan occupé. Faux drapeau s’il en est. Des trucs que même pas Hitler. Des trucs qui sont dans le goût de cet État et de cette aberration idéologique depuis sa naissance, il y a 78 ans.

Ils détruisent, tuent, dévastent, mais ils ne gagnent pas. Cela est de plus en plus vrai pour les États-Unis, cela a toujours été vrai pour Israël. Ce n’est pas une grande consolation. On se demande avec quoi cet état de Jack l’éventreur doit encore être accompagné pour qu’il soit décidé. POUR L’EXCULTER, NON SEULEMENT DES JEUX OLYMPIQUES, OÙ IL INFECTE DÉJÀ UNE SUPPOSÉE CONSESSION DE PAIX ET DE FRATERNITÉ, MAIS DE TOUTE LA FAMILLE DES ÊTRES HUMAINS.

Israël sait parfaitement qu’il ne gagnera jamais, non seulement contre les Palestiniens, mais aussi contre l’énorme éventail d’ennemis que ses atrocités rassemblent. Peut-être espère-t-il encore pouvoir entraîner les États-Unis, peut-être ceux de Trump, dans l’armageddon biblique que sa foi déformée prédit et espère. Et pour cela il dispose des outils et, hélas, de la complicité du trou de ver politico-médiatique dans lequel nous sommes contraints en Italie et en Occident.

Et, que vous me le permettiez ou non, dans ce scénario conçu par les charognards du culte de la mort (la physique des autres, sa propre moralité), je ne peux m’empêcher d’inclure Maurizio Fugatti, président provincial confirmé et tueur en masse d’ours du Trentin. Comme les sionistes, il est en colère contre les femmes, en particulier contre les mères, et contre les enfants. Il a fait, avec l’ourse KJ1 de vingt ans, mère de trois oursons, une énième victime de sa soif de mort. Ce qui s’étendra inévitablement aux trois chiots abandonnés. Comme déjà dans le cas de l’ours à perpétuité JJ4.

Braconniers et chasseurs avaient réussi à faire disparaître l’ours de notre côté des Alpes, leur habitat millénaire. Nous avons remplacé leur habitat par du ciment et du poison. Quelqu’un l’a fait revenir, sachant pertinemment que sans l’ours, qui n’attaque qu’en défense, la chaîne de la vie se brise. Comme sans les loups, comme sans les abeilles, comme sans les Palestiniens. Quelqu’un d’autre s’est immédiatement engagé à sa deuxième extinction. La Bible ne nous a-t-elle pas consacrés maîtres de la création et de tous les êtres vivants ? Faisons-en ce que nous trouvons utile ou amusant.

Pensez à la fureur de ce Fugatti. Deux appels de LAV ont amené le TAR à bloquer les ordres de tir de KJ1. Mais Fugatti ne sait pas et ne veut pas se retenir : il a émis en toute hâte une troisième ordonnance et l’a fait exécuter immédiatement, avant un nouvel appel, auprès des forestiers du Trentin. Quand les forestiers des Abruzzes n’ont aucune difficulté à faire cohabiter 60 ours 50
avec les habitants du quartier. Pas de culte de la mort. Pas de Ligue là-bas.

Il est tragiquement paradoxal que l’on doive se demander si une fusillade n’aurait pas mieux valu que la capture, comme celle d’autres ours, prisonniers à vie innocents, enfermés à vie dans un couloir de la mort plus monstrueux que la prison israélienne du Néguev, où sont détenus les résistants. des Palestiniens enfermés, ou des Palestiniens raflés au hasard et d’où sont issues les révélations sur l’Israélien Abou Ghraib. Ça s’appelle le Castellet, c’est bien moins d’un hectare pour les animaux qui parcourent 30 à 40 km par jour. Ils ont enfermé l’étonnant Papillon, qui s’est échappé à trois reprises en surmontant des barrières insurmontables.
Condamnation à perpétuité pour crime de liberté. Je laisserais Maurizio Fugatti y passer quelques jours. Peut-être que l’idée d’une campagne de stérilisation de l’ours lui frapperait, ou de son transfert dans des sanctuaires voire à l’étranger.

LE culte de la mort (des autres) est un syndrome contagieux. Elle se propage de la tête au corps d’une société qui s’est insérée et élargie en termes de colonialisme. En Israël, les sondages indiquent que jusqu’à 80 % de la population soutient ce que font les ultra-nazis à Gaza et en Cisjordanie. Même dans le Trentin, où j’ai beaucoup d’amis, il y a ceux qui croisent Fugatti, soupirent peut-être, mais vont plus loin.

Nous sommes tous des meurtriers. JE SUIS tous les meurtriers, il faut y remédier, en pensant à tant de bonnes gens qui sont en proie au négativisme et qui désespèrent et ne savent plus faire la distinction entre ceux qui sont des bourreaux et ceux qui sont des victimes et ne voient pas à quel point les quatre cinquièmes du monde sont se mobiliser contre les meurtriers systémiques.

Une fois de plus, sous les yeux des observateurs internationaux, dont ceux de l’ONU et de l’Institut Carter américain, utilisant le mécanisme électoral le plus sûr au monde, basé sur une vérification complémentaire, électronique et papier, la révolution bolivarienne a donné sept points aux étoiles des régurgitations. et des rayures et une étoile de David. Tous ces observateurs ont confirmé l’exactitude du décompte, des décomptes, de l’ensemble du processus. Et la reconquête néocolonialiste de l’Amérique latine, sur laquelle comptaient les bellicistes États-Unis et l’UE, a subi un revers.

S’il s’agissait d’un match de tennis, celui pour le contrôle du sous-continent, dans ce tournoi nous aurions eu une série de coups droits, Lula au Brésil, la victoire populaire sur les tentatives de coups d’État en Bolivie et au Honduras et la révolution colorée de l’Église et CIA contre le Nicaragua ; puis quelques revers, l’Argentine s’est retrouvée entre les mains du tueur à gages néocolonialiste Milei, les coups d’État parlementaires au Pérou, en Équateur et au Paraguay, le Chili est retombé dans le post-pinochetisme ; mais, aujourd’hui, c’est le dunk décisif du Venezuela qui a décidé du set.

Le Brésil, le Mexique et le Venezuela sont, à des degrés divers, les avant-gardes d’un processus d’émancipation latino-américaine, lancé par Cuba (mais là aujourd’hui en suspension), de la condition d’arrière-cour et de source d’approvisionnement du prédateur nord-américain. Si l’on laisse de côté les États, notamment d’Amérique centrale, qu’ils soient libérés, comme le Honduras et le Nicaragua, ou ancrés dans la condition des républiques bananières, comme le Panama, la République dominicaine, le Guatemala, Porto Rico, les États-Unis se retrouvent avec deux problèmes politiques importants : garnisons économico-militaires : l’Argentine s’est rétablie (où l’anarcho-capitalisme sioniste étoilé, Milei, a immédiatement appelé à un coup d’État militaire contre Maduro) et le Chili a été normalisé, après la vague anti-pinochettismo, par le président Gabriel Boric. La victoire de Maduro a été immédiatement saluée par les pays de l’ALBA : Bolivie, Nicaragua, Cuba, Honduras. Le Mexique et le Brésil attendent les résultats définitifs.

Quant à la Colombie, elle doit être placée parmi les jeux perdus par le prétendant impérial : sous le président Gustavo Petro, elle s’est clairement distancée du rôle que lui assignait Washington comme « Israël de l’Amérique latine » et a cessé de fonctionner comme un tremplin pour des provocations et des incursions contre le Venezuela. Reste à savoir comment réagiront les sept bases militaires concédées aux États-Unis par les prédécesseurs d’Uribe.

Je suis allé plusieurs fois au Venezuela, j’ai rencontré des jeunes, des étudiants, des agriculteurs, des militants, j’ai vu Chavez attribuer des terres et des maisons. Comme dans d’autres pays visés par la rançon, en Libye, en Irak, les soins de santé et l’éducation étaient gratuits. En cinq ans, l’analphabétisme est passé de 38 % à zéro pour cent. Les radios et télévisions municipales libres ont répondu aux médias sous contrôle oligarchique en poussant comme des champignons. Parfum de révolution. J’ai rencontré et interviewé Hugo Chavez. Un charme comparable à celui du Che. Je traversais les territoires du centre et du sud, fortement touchés par le lock-out du monopole PDVSA, la compagnie pétrolière dont les patrons américains ont refusé la nationalisation décidée par Chavez. Le gouvernement a compensé la faim induite par des marchés à prix contrôlés.

Mon chauffeur, un militant bolivarien, avait constamment allumé la radio sur les chansons d’Ali Primera, l’auteur-compositeur-interprète du peuple, comme l’appelait Hugo Chávez en évoquant sa mort en 1985, dans un accident très suspect, attribué par beaucoup à les assassins du régime du fantoche yankee Jaime Lusinchi. Écoutez ceci : https://youtu.be/w9Hc-Bi-iE4 « Toits en carton». Mon chauffeur était en larmes.



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