L’éminente organisation musulmane Imarat Sharia, autrefois très respectée, se retrouve une fois de plus au center de l’attention.Des luttes intestines pour le pouvoir et la suprématie menacent son image.
Des sources révèlent que d’anciens fidèles du chef actuel, Maulana Ahmad Wali Faisal Rahmani, dont Maulana Shibli Qasmi, ont mené une « rébellion ». Ces derniers avaient pourtant joué un rôle déterminant dans sa nomination. D’anciens membres influents de l’Imarat, tels que Maulana Abu Talib Rahmani, Maulana Anisur Rahman Qasmi et Maulana Abdur Rouf, sont également impliqués.Des témoins affirment qu’un membre de l’assemblée et un ancien député ont été aperçus aux côtés des rebelles. L’intérêt du parti au pouvoir pour cette affaire soulève des questions. Des médias ont tenté de contacter Maulana Faiyaz Rahmani et Maulana Anisur Rahman Qasmi pour obtenir une version claire des événements, mais sans succès. Les journalistes locaux peinent à obtenir des informations fiables, et les réseaux sociaux sont inondés de rumeurs.
Une chose est sûre : la situation au sein de l’Imarat Sharia est instable et une nouvelle crise semble se profiler. Un journaliste du Bihar a rapporté que Maulana Shibli Qasmi avait récemment été démis de ses fonctions, ce qui a alimenté les tensions. Des incidents désagréables avaient déjà marqué les élections à l’Imarat.
Selon Maulana Qiyamuddin Qasmi, membre de l’équipe de recherche de l’Imarat, des membres du groupe dissident se sont plaints auprès de la police de la présence d’éléments asociaux dans les bureaux de l’Imarat Sharia, susceptibles de perturber l’ordre public.des forces de police ont été déployées sur place. L’details n’a pu être confirmée de manière indépendante. Des vidéos circulent sur les réseaux sociaux montrant une forte présence policière.
L’évolution de la situation reste incertaine. Des rumeurs persistantes laissent entendre que Maulana Anisur Rahman Qasmi souhaiterait réintégrer l’Imarat Sharia et s’impliquer dans ses activités. Il est actuellement vice-président du Conseil musulman et membre du conseil juridique personnel musulman. Plusieurs membres influents du Conseil juridique personnel musulman étant impliqués dans ce conflit, des spéculations laissent entendre que l’organisation pourrait tenter de jouer un rôle de médiateur. Cependant, il s’agit d’une affaire interne à l’imarat, dans laquelle le conseil n’a ni le pouvoir ni le mandat d’intervenir.
Un membre influent du Conseil a déclaré que l’organisation n’était pas impliquée dans cette affaire.
« en ces temps difficiles, les informations faisant état de différends et de conflits sont très regrettables et préjudiciables. »
L’émir Shariat était en retraite spirituelle, mais conscient de la gravité de la situation, il est rentré Ã Patna et s’est engagé dans des consultations mutuelles.
Certaines sources affirment que cette affaire a également une dimension politique. Selon elles,le parti JDU serait mécontent de l’implication active de l’Imarat dans les manifestations et les sit-in organisés par le Conseil juridique personnel musulman,et souhaiterait donner une « leçon » à l’Imarat. La présence et l’intérêt d’un membre de l’assemblée, d’un ancien député et d’autres personnalités du JDU alimentent ces spéculations. Des critiques s’élèvent contre le gouvernement de l’État,et le JDU est appelé à clarifier sa position.
D’aucuns prétendent que ces allégations visent à détourner l’attention des problèmes internes de l’Imarat Sharia et à masquer les conflits internes. Ils nient tout lien avec les manifestations et les sit-in.
Une autre théorie avance que, Ã l’approche des élections de l’assemblée du Bihar, l’Imarat Sharia exerce une influence considérable. Le mécontentement et l’opposition du JDU pourraient avoir des répercussions politiques.
« Cependant, tout cela n’est que spéculation. La situation évolue constamment et reste incertaine. »
Le groupe qui sortira vainqueur et la manière dont cette crise sera résolue restent à voir.
Des sources locales indiquent qu’un accord a été trouvé pour le moment. Les « opposants » à la direction actuelle et les responsables de la police seraient en pourparlers. Le marché des rumeurs reste actif.
« Dans l’intervalle, Maulana Dr Abul Kalam Qasmi, membre du comité de résolution des différends de l’Imarat et personnalité scientifique renommée du Bihar, a exprimé sa profonde tristesse face à la situation lors d’une conversation. »
Il a souligné que toute question relative à la citoyenneté devrait être résolue par les voies légales.
« C’est le mandat de l’Imarat. Il est consultatif. S’il y a un différend, ce n’est pas la manière de le résoudre. »
Il a ajouté que la nation traverse une période délicate et qu’il est impératif de faire face aux défis ensemble.
« De telles activités nuisent au mouvement Waqf Bachao Mukhalif. »
Il deviendra clair dans les prochains jours qui tirait les ficelles dans ce jeu, qui était le marionnettiste et qui poignardait dans le dos.
Crise au sein de l’Imarat Sharia : Luttes de pouvoir et implications politiques
Table of Contents
L’organisation musulmane Imarat Sharia, autrefois respectée, est actuellement au cœur de tensions internes, menaçant son image. Des luttes de pouvoir et de suprématie semblent être à l’origine de cette crise.
Les causes de la crise
Rébellion interne : D’anciens fidèles du chef actuel, Maulana Ahmad Wali Faisal Rahmani, dont Maulana Shibli Qasmi, ont lancé une “rébellion”.Ils avaient pourtant soutenu sa nomination. D’autres anciens membres influents de l’Imarat, tels que Maulana Abu Talib Rahmani et Maulana Anisur Rahman Qasmi, sont également impliqués.
contexte politique : L’implication de membres du parti au pouvoir, le JDU, dans ce conflit soulève des questions politiques. il est suggéré que le JDU pourrait être mécontent de l’implication de l’Imarat dans des manifestations et des sit-in organisés par le Conseil juridique personnel musulman.
Les acteurs impliqués
Le chef de l’Imarat : Maulana Ahmad Wali Faisal Rahmani.
Les “rebelles” : Maulana Shibli Qasmi,Maulana Abu Talib rahmani,Maulana anisur Rahman Qasmi et Maulana Abdur Rouf.
Acteurs politiques : Membre de l’assemblée, ancien député, et potentiellement le parti JDU.
Les conséquences et l’incertitude
Instabilité : La situation est instable, avec des tensions exacerbées par la destitution de Maulana Shibli Qasmi.
Rumeurs : Les réseaux sociaux sont inondés de rumeurs, rendant difficile l’établissement de la vérité.
Interventions possibles : Le Conseil juridique personnel musulman pourrait potentiellement jouer un rôle de médiateur.
* Incertitude politique : L’influence de l’Imarat Sharia et le mécontentement du JDU pourraient avoir des répercussions politiques à l’approche des élections.
Tableau récapitulatif
| Aspect | Détails |
| ——————- | ———————————————————————————————————————————— |
| Nature de la crise | Luttes de pouvoir et de suprématie |
| Acteurs clés | Maulana Ahmad Wali Faisal Rahmani, maulana shibli Qasmi, membres du JDU |
| Causes | Rébellion interne, implication politique potentielle |
| Conséquences | Instabilité, rumeurs, possible intervention du Conseil juridique personnel musulman, incertitude politique, déploiement policier. |
FAQ
qu’est-ce que l’Imarat Sharia ?
C’est une organisation musulmane socio-religieuse basée à Patna, en inde, qui vise à fournir des conseils religieux et à promouvoir l’éducation islamique [[1]].
quelles sont les principales accusations contre l’Imarat Sharia ?
Luttes internes pour le pouvoir, rébellion contre le chef actuel, et potentielles implications politiques.
Quel est le rôle supposé du parti JDU dans cette crise ?
Le parti JDU pourrait être mécontent de l’implication de l’Imarat dans des manifestations et envisagerait de “donner une leçon” à l’Imarat; cependant, ce sont que des spéculations pour le moment.