Voici un aperçu des otages toujours captifs dans la bande de Gaza, principalement des hommes, y compris des pères d’enfants libérés, des soldats et une quinzaine de femmes. Sur les 240 otages emmenés le 7 octobre dans la bande de Gaza lors de l’attaque du Hamas, 105 ont été libérés en sept jours de trêve, dont 80 dans le cadre de l’accord entre Israël et le mouvement islamiste palestinien, ainsi que cinq personnes relâchées auparavant.
Parmi les otages toujours retenus, on compte 136 indivdus, dont 17 femmes et enfants, selon le porte-parole de l’armée israélienne. Ils comprennent 125 Israéliens ou binationaux, huit Thaïlandais, un Népalais, un Tanzanien, et un Franco-Mexicain dont l’identité a été confirmée.
Des données analysent les 108 otages présumés vivants toujours à Gaza au 1er décembre, principalement grâce au réseau de journalistes de l’AFP en contact régulier avec des familles d’otages et à la presse israélienne.
Il est à noter que certaines victimes, considérées initialement comme otages, ont été identifiées comme tuées dans l’attaque du 7 octobre. Hormis cela, il ne reste plus d’otages mineurs dans la bande de Gaza.
15 femmes adultes sont toujours retenues, dont deux septuagénaires de 70 ans chacune. Parmi les otages présumés captifs, au moins 33 ont été enlevés lors d’un festival de musique techno auquel participaient plus de 3.000 personnes.
Outre les otages présumés vivants, plusieurs corps sont également détenus dans la bande de Gaza par le Hamas et ses alliés, dont ceux de trois soldats israéliens tués le 7 octobre. En plus des otages, sept personnes sont toujours considérées par les autorités comme disparues.
