Parc Maxïmo – Courant de Vie

2024-10-01 13:43:05

de Olivier
le 1er octobre 2024
dans l’album

La complaisance n’est pas pour moi/Il n’y a rien de pire que la médiocrité” contre. “Mes meilleures années sont derrière moi/Mais je serai damné si j’abandonne« . Ou: Parc Maximo continuez Flux de vie le niveau de La nature gagne toujours.

On ne peut pas nécessairement supposer que, puisque l’histoire des Britanniques depuis une bonne décennie, c’est-à-dire après des débuts parfaits et ses trois fabuleux successeurs, a été avant tout une histoire d’échec à reproduire leurs anciens atouts.
Même si les pré-singles qui donnent à réfléchir fonctionnent désormais bien plus fortement dans le contexte de l’album que seuls, les problèmes fondamentaux du groupe peuvent encore être soulignés dans ces morceaux : un refrain comme dans Votre pire ennemi Dans le passé, cela se serait probablement démarqué d’une manière beaucoup plus euphorique que de simplement se produire discrètement dans l’ouverture inébranlable et rythmée. Et ce qui suit Chansons préférées En théorie, il fait tout pour garantir un succès instantané, mais en pratique, il lui manque l’énergie vive (du line-up original du groupe ?). En tout cas, tout a désormais laissé place à une cohérence moins obsessionnelle, sereine, et le coup de poing meurtrier n’a plus de succès.

Bref : vous avez des chansons comme le joli morceau semi-entraînant La fin peut être aussi bonne que le début ou Indice du quiz presque conforme, si souvent, si explicitement meilleur Parc Maximo arriver à entendre.
En un seul morceau, le huitième album studio du groupe amortit dans une certaine mesure cette situation avec une cohérence routinière. Une norme comme Yeux de sosie ou la performance plutôt ennuyeuse de Comfort Zone de Vanessa Brisco Hay dans Dormant jusqu’à l’explosion ne fonctionnera pas souvent de manière sélective. Au plus tard lorsque (la phase d’ouverture réussie du disque) suit à peine le passage final avec le vif Je savais que tu dirais çacelui qui groove malicieusement Le chemin que j’ai choisi ainsi que les paroles impressionnantes (et aussi les arrangements de synthé exceptionnellement utiles) plus proches Il n’y a rien de tel qu’une société le montre, cela corrige agréablement l’impression générale vers le haut.

Que le titre titre décontracté (aéré et détendu avec de fins arrangements d’harmonie manque malheureusement à un moment donné du mordant nécessaire – symptomatique d’ailleurs de la production généralement beaucoup trop laxiste de Ben H. Allen) et, surtout, le doux-amer semblable à une ballade de la mélancolie calmement pétillante qui suit Vue en fauteuil En fin de compte, le groupe est secrètement mieux loti dans son rythme calme plutôt que de s’accrocher fermement à d’anciennes tâches, ce qui est finalement la seule leçon quelque peu surprenante de Flux de vie.



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#Parc #Maxïmo #Courant #Vie
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