2024-05-23 06:01:33
A 18h00, le vice-gouverneur Myrian Prunotto a rapporté que 55 législateurs étaient assis sur leurs bancs. De cette manière, le président de la Chambre a indiqué qu’« un quorum suffisant a été atteint pour commencer la sixième session ordinaire » de la Monocamérale.
Le parti au pouvoir a réussi à se mettre d’accord avec la formation de l’UCR sur un texte avec des modifications au projet de résolution controversé du législateur libertaire Agustín Spaccesi, qui établit 2/3 des voix pour discuter des projets de plans à la chambre. Les changements soulignent les moments fixés pour la discussion des initiatives par la commission.
De cette manière, le conflit que la majorité du groupe d’opposition entretenait avec le banc de la PJ pour pouvoir se réunir a été débloqué. Cela fait plus d’un mois que la Monocamérale a tenu sa dernière séance plénière.
Le quorum a été atteint avec les législateurs de Hacemos Unidos por Córdoba, l’UCR, Construyendo Córdoba et les monoblocs de Karina Bruno et Luciana Echevarría. Ce qui est curieux, c’est que Saccessi est arrivé quelques minutes après le début de la séance.
Après avoir atteint le nombre requis pour permettre la séance plénière de ce mercredi, les faucons d’Ensemble pour le changement (JxC) – qui voulaient maintenir la position de ne pas donner de quorum – sont entrés dans la salle pour tenir le débat. Il s’agissait des sept législateurs judiciaires et de Gregorio Hernández Maqueda (Un meilleur avenir) et du péroniste K Federico Alesandri (Je crois à Cordoue).
Le parti au pouvoir a obtenu de l’UCR la clé pour permettre la séance plénière, mais aussi, du côté politique, il a ouvert une blessure dans l’opposition entre les partisans de la ligne dure et ceux qui ont adopté une position d’accord sur la base des changements introduits dans le projet libertaire qui modifie le règlement intérieur de la Chambre.
Le point clé qui fonde le projet Spaccesi qui a été approuvé à une large majorité (55 positifs et 15 négatifs) est que 2/3 des voix de la séance plénière sont nécessaires pour discuter d’un projet sur des tables dans la chambre, une modalité qui jusqu’à est désormais largement utilisée par l’opposition. C’est l’essence de l’initiative libertaire.
Qu’est-ce qui a changé la position de la majeure partie du radicalisme pour faire pencher la balance ? Espadas de l’UCR a réussi à s’entendre avec le parlementaire de La Libertad Avanza (LLA) et du péronisme pour introduire des changements dans les petits caractères du texte finalement sanctionné qui dépasse les délais stipulés pour la durée du traitement des initiatives en commissions.
Un projet – parrainé par son auteur – disposera d’un délai maximum de 45 jours (le texte original indiquait 60) pour être expédié par la commission concernée et transmis au lieu de débat.
Si ce point n’est pas respecté, vous pouvez demander un traitement sur tables, trois jours avant la séance “au cours de laquelle son traitement est prévu et nécessitera une majorité simple des suffrages exprimés pour ouvrir son traitement”.
Si les délais fixés ne sont pas respectés, le président de la commission est sanctionné d’une réduction de son régime alimentaire de 12% pour chaque semaine de retard.
Après plus de trois heures de débats, parfois houleux, avec des positions pour et contre, le vote a eu lieu. Il y a eu 55 votes affirmatifs (PJ, UCR, Construyendo Córdoba, LLA et Block Cordobés). Le Front Civique, le PRO et les législateurs Hernández Maqueda, Alesandri, Rodrigo Agrelo (EVC), Luciana Echevarría (FIT) et le radical Carlos Briner se sont prononcés contre.
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