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Paro universitario de 48 horas: qué pasará en Neuquén y Río Negro, este lunes y martes

by Nouvelles

Le lundi, un arrêt de travail de 48 heures a débuté, annoncé par le Front Syndical des Universités Nationales. Cette action vise à obtenir des améliorations salariales et un financement accru pour l’éducation publique. les syndicats universitaires critiquent le gouvernement actuel pour son manque de réponse à leurs revendications.

Cette mesure de force a été convoquée par le regroupement des principaux syndicats de professeurs et de personnel non enseignant des universités publiques argentines. Elle se déroulera sur deux jours.

L’objectif principal est de poursuivre la contestation face au « désinvestissement structurel ». Selon eux, cela affecte considérablement le fonctionnement des différents établissements d’enseignement supérieur.

Suite à cet appel, divers syndicats à travers le pays ont confirmé leur participation. L’arrêt de travail affectera les activités à l’Université Nationale du Comahue et à l’Université Nationale de Río Negro.

Bien qu’aucune mobilisation ou manifestation n’ait été annoncée, un arrêt total des activités est prévu dans tous les campus universitaires de la région.

Le syndicat des Enseignants de l’université Nationale de Río Negro a déclaré :

« Face non seulement aux paroles,mais aussi aux actions constantes des autorités de ce gouvernement,nous revendiquons des conditions de travail et des salaires adaptés à la situation économique actuelle. Sans salaires décents, il n’y a pas d’université de qualité. »

de son côté, Adunc a également annoncé la cessation des activités pour ces deux jours. La secrétaire générale d’adunc, Silvia Bouchard, a indiqué qu’il avait été décidé un arrêt total des activités.

« L’université publique, c’est avec des salaires décents », ont-ils affirmé dans un communiqué, sollicitant également une convocation urgente aux négociations paritaires.

Les principales revendications des enseignants et du personnel non enseignant mettent en évidence la perte de pouvoir d’achat.

Les syndicats dénoncent que les augmentations salariales accordées par le gouvernement ne suffisent pas à compenser l’inflation.

Lors de la réunion plénière où l’arrêt de travail a été décidé, il a été souligné que la situation affecte non seulement les travailleurs, mais aussi :

« met en péril le développement de projets académiques, la recherche, le maintien du système de bourses pour les étudiants et, en général, le fonctionnement basique des universités. »

Les syndicats se sont dits préoccupés par le manque de réponses à leurs demandes et estiment que les mesures adoptées par le gouvernement ne garantissent pas la viabilité du système universitaire.

Grève des enseignants universitaires argentins : 48 heures de paralysie

Le Front Syndical des Universités Nationales a annoncé un arrêt de travail de 48 heures, débutant lundi, paralysant les universités publiques argentines. Cette action vise à obtenir des augmentations salariales significatives et un financement accru pour l’éducation publique. Les syndicats dénoncent le manque de réponse du gouvernement à leurs revendications.

Contexte de la Grève

Cette grève, impliquant les principaux syndicats de professeurs et de personnel non-enseignant, concerne le “désinvestissement structurel” de l’éducation supérieure argentine. L’impact est considérable sur le fonctionnement des universités.Plusieurs institutions sont touchées, dont l’Université Nationale du Comahue et l’Université nationale de Río Negro. Bien qu’aucune manifestation ne soit prévue, un arrêt total des activités est attendu sur tous les campus.

Revendications des Syndicats

Les revendications portent principalement sur la perte de pouvoir d’achat des enseignants et du personnel. Les augmentations salariales accordées par le gouvernement sont jugées insuffisantes face à l’inflation. Le syndicat des Enseignants de l’université Nationale de Río Negro déclare : “Face non seulement aux paroles, mais aussi aux actions constantes des autorités de ce gouvernement, nous revendiquons des conditions de travail et des salaires adaptés à la situation économique actuelle. Sans salaires décents, il n’y a pas d’université de qualité.” De même, ADUNC appelle à une convocation urgente aux négociations paritaires, affirmant : “L’université publique, c’est avec des salaires décents.”

La situation met en péril non seulement les travailleurs, mais également le développement des projets académiques, la recherche, le maintien des bourses étudiantes et le fonctionnement général des universités.

Impact sur le Système Universitaire

Les syndicats expriment leurs préoccupations face au manque de réponses gouvernementales et estiment que les mesures actuelles ne garantissent pas la viabilité du système universitaire argentin.L’arrêt de travail affectera gravement les activités universitaires, soulignant l’urgence de la situation.

Tableau récapitulatif

| Point clé | Description |

|—————————|———————————————————————————–|

| Durée de la grève | 48 heures |

| participants | Principaux syndicats de professeurs et personnel non-enseignant des universités publiques |

| Revendications principales | Augmentations salariales,financement accru de l’éducation publique |

| Impact | Arrêt total des activités dans de nombreuses universités |

| Préoccupations | Perte de pouvoir d’achat,viabilité du système universitaire |

FAQ

Q : Quelles universités sont touchées par la grève ?

R : Parmi les universités affectées figurent l’université Nationale du Comahue et l’Université Nationale de Río Negro,ainsi que d’autres à travers le pays.

Q : Quelles sont les principales revendications des syndicats ?

R : Des augmentations salariales pour compenser l’inflation et un financement accru pour l’éducation publique.

Q : Y aura-t-il des manifestations ?

R : Aucune manifestation n’est annoncée pour le moment, mais un arrêt total des activités est prévu.

Q : quel est l’impact de cette grève sur les étudiants ?

R : L’arrêt des activités met en péril le bon déroulement des études, ainsi que le maintien des bourses étudiantes.

Q : Le gouvernement a-t-il répondu aux revendications des syndicats ?

R : Non, les syndicats critiquent le manque de réponse du gouvernement à leurs revendications.

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