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Permis d’études et de travail au Canada : comment les nouvelles restrictions affectent les étudiants internationaux

Permis d’études et de travail au Canada : comment les nouvelles restrictions affectent les étudiants internationaux

2024-01-23 04:50:51

Cette photo vient de Getty Images

22 janvier 2024

Le gouvernement canadien n’annonce pas de nouvelles restrictions sur les permis de travail et d’études pour les étudiants internationaux qui souhaitent suivre des études de troisième cycle, car ils prévoient de réduire le nombre d’étudiants par an.

Marc Mille, ministre canadien de l’Immigration, a annoncé lundi qu’il souhaitait réduire le nombre d’étudiants internationaux dans son pays de 35 pour cent au cours des deux prochaines années.

Le ministre a noté que le nombre d’étudiants internationaux sera réparti en fonction de la population de chaque province afin que les étudiants internationaux puissent progresser dans leurs études dans le pays.

Le ministre a également annoncé qu’il cesserait de délivrer un permis de travail aux étudiants internationaux diplômés des programmes de partenariats collèges publics-privés.

« Afin de maintenir un niveau durable de résidence temporaire au Canada, ainsi que d’assurer, par exemple, qu’il n’y ait pas de croissance supplémentaire du nombre d’étudiants internationaux au Canada pour 2024, nous avons fixé un plafond national de réception de demandes pour une période de deux ans pour 2024.

“Le cap devrait aboutir à environ 364 000 permis d’études approuvés, soit une diminution de 35 pour cent par rapport à 2023”, je dis.

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Le ministre maintient que les permis de travail ouverts ne sont disponibles que pour les conjoints des étudiants des programmes de maîtrise et de doctorat ainsi que des programmes professionnels, tels que la médecine et le droit.

J’ajoute que les conjoints d’étudiants internationaux qui suivent des programmes de premier cycle et d’université ne sont pas éligibles.

“Dans la semaine à venir, nous annoncerons qu’un permis de travail ouvert sera disponible pour les conjoints d’étudiants internationaux inscrits à des programmes de maîtrise et de doctorat ainsi que des programmes professionnels tels que la médecine et le droit”, a déclaré le ministre de l’Immigration.

“Les conjoints des étudiants internationaux qui suivent des programmes de premier cycle et d’études collégiales ne sont pas éligibles.”

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Trois mesures clés que le gouvernement canadien souhaite mettre en œuvre pour 2024 étudiants internationaux

Lundi, le ministre a énuméré trois mesures que le gouvernement souhaite mettre en œuvre pour 2024.

  • Réduisez les permis d’études pour les étudiants internationaux de 35 %, nous aurons environ 364 000 permis d’études dans toute la province en fonction de la population actuelle.
  • À compter du 1er septembre, le Canada supprimera les permis de travail postuniversitaires pour les diplômés des programmes de partenariats collèges publics-privés.
  • De plus, les permis de travail ouverts ne sont pas disponibles pour les conjoints des étudiants des programmes de premier cycle et des programmes collégiaux – et seuls les conjoints des programmes de maîtrise et de doctorat, ainsi que des programmes professionnels tels que la médecine et le droit, sont éligibles.
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Oga Miller explique que ces mesures n’affecteront pas les étudiants internationaux qui n’obtiennent pas de permis d’études, ils pourront donc terminer leurs programmes de formation.

Il a indiqué que ces mesures temporaires resteraient en vigueur pendant deux ans et que le gouvernement canadien réévaluerait les nouvelles demandes pour 2025 d’ici la fin de l’année.

“Cette mesure temporaire sera en vigueur pendant deux ans et le nombre de nouvelles demandes de permis d’études qui seront acceptées pour 2025 sera réévalué à la fin de cette année”, a-t-il précisé.

Selon le ministre de l’Immigration, la position du gouvernement canadien n’est pas contre les étudiants internationaux, mais il veut s’assurer qu’à leur arrivée dans le pays, les étudiants reçoivent une éducation de qualité.

« Nous voulons nous assurer qu’à mesure que les étudiants arrivent au Canada, ils reçoivent l’éducation de qualité à laquelle ils s’inscriront. Ce sera ce service qui accueillera les étudiants internationaux au Canada alors que nous savons qu’ils n’auront pas tous les ressources nécessaires pour réussir au Canada et qu’ils seront déçus par le système éducatif canadien à leur retour dans leur pays d’origine », a déclaré M. Miller.

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Le ministre a déclaré que la province de l’Ontario, qui accueillera le plus grand nombre d’étudiants internationaux, verra une réduction de 50 pour cent du nombre d’étudiants internationaux l’année prochaine.

Cette nouvelle restriction affectera les collèges et universités canadiens qui dépendent des frais de scolarité des étudiants internationaux pour leurs revenus.

Entre 2012 et 2022, le nombre d’étudiants internationaux au Canada a augmenté de 193 %, selon les données publiées par le ministère canadien de l’Immigration.

Ces chiffres ne contribuent pas à l’augmentation des prix des logements pour pipo.

La Société canadienne d’hypothèques et de logement – une agence nationale de logement – estime que di Kontri aura besoin de 3,5 millions de logements supplémentaires d’ici 2030 pour rétablir l’abordabilité.

Le pays a interdit en 2023 pendant deux ans aux étrangers d’acheter des maisons au Canada.

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