Nouvelles Du Monde

Peter Gillis écope d’une autre pénalité sur son pantalon

Peter Gillis écope d’une autre pénalité sur son pantalon

Une fois de plus, le groupe Oostappen s’est vu infliger une pénalité par Peter Gillis. Cette fois de la commune de Valkenswaard, selon une lettre entre les mains d’Omroep Brabant. Trois autres municipalités ont déjà précédé Valkenswaard, les amendes se chiffrent désormais en millions.

Dans plusieurs municipalités, l’entrepreneur du parc de vacances est en désaccord avec le gouvernement local. La municipalité de Loon op Zand, Peel en Maas et Asten lui réclame déjà un total de 2 millions d’euros en raison de l’hébergement illégal de travailleurs migrants. La municipalité d’Asten a récemment menacé une autre sanction parce que la sécurité incendie du parc Prinsenmeer n’est pas en ordre.

Et maintenant, Valkenswaard impose également une sanction pour occupation illégale de chalets dans le parc. La lettre dans laquelle cela a été communiqué à Gillis au début du mois est entre les mains d’Omroep Brabant. Les rapports de deux inspections ont également été consultés.

Lire aussi  Mini Cooper électrique, comment la compacte à volonté prend la route

Travailleurs migrants et nettoyeurs
Il s’agit du parc de vacances Brugse Heide, situé au sud de Valkenswaard. Les 26 mars et 22 septembre de cette année, des surveillants de la municipalité ont effectué des contrôles inopinés sur ce parc.

Des étrangers qui n’étaient manifestement pas en vacances se sont retrouvés dans des dizaines de chalets. Ils sont emmenés au travail tous les jours dans des camionnettes d’une agence pour l’emploi, Jupiter. Par exemple, chez l’entreprise d’emballage Scherpenhuizen à Eindhoven. Les inspecteurs ont également trouvé des personnes dans des chalets qui se sont avérées travailler comme nettoyeurs au parc Prinsenmeer à Asten, également d’Oostappen.

Surprendre et tressaillir
Le loyer des chalets des travailleurs migrants est déduit de leur salaire par Jupiter, selon le rapport d’inspection. Les nettoyeurs du parc Prinsenmeer n’avaient pas à payer de loyer. Il est donc clair pour la municipalité qu’il s’agit d’une habitation illégale.

Les surveillants voient aussi comment un employé de l’agence pour l’emploi fait peur aux migrants, écrivent-ils dans le rapport. Il s’adressait « à peine et dans leur langue » aux habitants des chalets : « Nous ne pouvions pas comprendre exactement ce qu’il disait, mais nous avons vu que les personnes présentes étaient choquées et reculaient devant lui.

Lire aussi  Bloqué

Amende jusqu’à une tonne
Tout cela signifie que la municipalité a décidé d’imposer une sanction. Après le 31 janvier, Oostappen peut être condamné à une amende de 10 000 euros chaque fois qu’une infraction est détectée, avec un maximum de 100 000 euros. Oostappen dispose de quatre semaines pour faire appel de la décision.

Ces astreintes sont également toujours pendantes contre Oostappen Group :

  • 500 000 euros Municipalité de Loon op Zand
  • 500 000 euros Commune d’Asten (éventuellement une autre sanction si la sécurité incendie ne s’améliore pas)
  • 1 000 000 euros Commune de Peel en Maas

LIRE AUSSI :

Gillis-park Prinsenmeer n’a pas de sécurité incendie en règle: la sanction est imminente

Net se rapproche de Peter Gillis: 2 millions d’amendes et pas de permis

Facebook
Twitter
LinkedIn
Pinterest

Leave a Comment

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.

ADVERTISEMENT