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PIB: La demande intérieure est le moteur du cycle en Espagne | Entreprise

by Nouvelles

2025-02-02 07:50:00

L’économie espagnole récolte de bons résultats et le fait dans un contexte international plein d’incertitudes. Le progrès du PIB, un robuste 0,8% à la fin de l’année, contraste avec la pause européenne. Le différentiel maintient une certaine relation avec la compétitivité plus apportée par les prix de l’énergie, ancrée en dessous de la moyenne communautaire; La faible exposition aux turbulences commerciales mondiales – les échanges de marchandises avec des pays non communautaires occupent 36% au total, contre près de la moitié en Allemagne; et l’impulsion de l’immigration.

Tout n’est pas une bonne nouvelle: il y a aussi une inflexion dans le schéma de croissance, moins équilibré que les années précédentes. Et c’est que l’atonie des marchés européens fait une brèche dans les exportations. À la chute des expéditions de marchandises à l’extérieur, qui ont déjà faibli, la modération des exportations de services non-touristes, brisant la voie d’une forte croissance, se joint depuis le milieu du milieu de l’année dernière. Bien sûr, le tourisme continue de lancer, mais sans compenser le frein du reste. D’un autre côté, les importations se rétablissent, la contribution à la croissance du PIB du secteur étranger est devenue négative dans la deuxième partie de l’année dernière.

La demande intérieure prend le contrôle de la chaleur de la consommation publique, qui reste en fuite et privée. Les familles passent à un rythme vigoureuse, expliquant 77% des progrès du PIB enregistrés au second semestre de l’année dernière. L’investissement prend de l’air, en particulier dans le segment des produits d’équipe. Mais il est tôt pour déterminer s’il s’agit d’une amélioration structurelle avec les indicateurs pointant dans les adresses contradictoires. D’une part, l’augmentation de l’investissement est due à des facteurs transitoires, car il est très concentré dans le matériel de transport, en mesure de refléter les changements d’impôt prévus. D’un autre côté, la demande de crédit et les importations de produits d’équipement serait conforme à une tendance à la hausse. Dans tous les cas, les investissements du logement réagissent à peine à la succession d’annonces officielles, ce qui perpétue le grave problème de pénurie.

Pour l’avenir, le secteur étranger restera probablement avec activité, pour la faiblesse persistante de l’économie européenne ainsi que les incertitudes croissantes qui se profilent sur le commerce international. De plus, les importations se normalisent (son élasticité concernant la demande est proche de la moyenne historique), ce qui, dans un contexte de forte poussée du marché interne, a tendance à nuire à l’activité.

Si la croissance extérieure de la croissance n’a pas échoué, l’intérieur n’échoue pas. La consommation privée maintiendra la forte inertie expansive, soutenue par la création de l’emploi, la reprise du pouvoir d’achat des salaires et la libération d’une partie des économies de réservoir. Cependant, la situation de la prolongation du budget ainsi que les facteurs techniques (baisse des livraisons des livraisons en raison des communautés autonomes) indiquent une consommation publique un peu plus canalisée.

La clé sera dans l’investissement. Les stimuli proviennent de la relaxation de la politique monétaire et de la nécessité de s’exécuter en très peu de temps le reste abondant des fonds européens toujours disponibles.

Le facteur limitant vient du climat de l’incertitude, exacerbé, au moins dans le cas des grandes entreprises, Portrump insiste sur le fait que 25% de tarifs imposeront au Mexique et au Canada ce samedi: le problème n’est pas tant la menace tarifaire que l’interrogatoire de la Règles multilatérales qui régissent les relations internationales depuis la Seconde Guerre mondiale. L’insécurité sur l’avenir de ces règles qui permettent au principal plan d’énergie économique mondiale soit préjudiciable à l’investissement. Cela n’aide pas non plus, au niveau interne, le gel de la politique budgétaire ou le manque de consensus pour entreprendre des réformes sur le marché du logement. En somme, le cycle expansif se poursuit, sans éliminer les doutes quant à sa durabilité.

Immigration

L’incorporation de travailleurs étrangers sur le marché du travail reste l’un des facteurs distinctifs de l’économie espagnole. En 2024, la population active nationale est descendue chez 87 000 personnes, tandis que le nombre d’actifs de nationalité étrangère ou double a augmenté de 391 000, selon l’EPA. En revanche, 79% des nouveaux emplois créés au cours de la dernière année ont été occupés par un travail étranger, un pourcentage à la hausse par rapport à l’année précédente (63%). Il met en évidence le poids de l’immigration dans les secteurs liés au tourisme et à la construction.



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