La Saint-Valentin, c’était ce mercredi. La fête de l’amour, des roses éthiopiennes… et des règlements de compte. A San Francisco ce 14 février, six utilisateurs se sont associés pour déposer une plainte fédérale contre le groupe Match, société américaine propriétaire des applications de rencontres bien connues Tinder, Hinge ou encore Meetic.
En cause, des fonctionnalités jugées addictives, s’appuyant sur une «manipulation de la dopamine» et qui auraient comme objectif de «transformer les utilisateurs en joueurs, enfermés dans une quête de récompenses psychologiques que Match rend volontairement insaisissables.» A la clé, de juteux abonnements sans cesse renouvelés, les cœurs devenus de simples marchandises sacrifiées sur l’autel du profit.
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