Plaintes et regrets pour une nouvelle édition des Jeux de l’Austérité

2024-08-04 10:12:18

En 1948, Londres eut l’immense responsabilité de rallumer la flamme olympique éteinte depuis douze ans, après le parti d’Adolf Hitler en 1936. En raison de l’économie d’après-guerre qui prévalait dans toute l’Europe, ces Jeux furent reconnus comme « les Jeux Olympiques ». d’austérité. »

Soixante-seize ans après cet événement olympique, la France a relevé le grand défi de corriger le coût financier insoutenable des dernières décennies, dû aux dépassements de coûts, aux dettes à long terme et aux problèmes socio-économiques et environnementaux.

Ces raisons ont poussé le Comité International Olympique (CIO) à s’engager à changer cette tendance dès ces Jeux. De quelle manière? Être plus austère et écologique. Sur le plan macro, force est de constater qu’il y est parvenu puisque selon les données fournies par le Comité olympique français, cette édition 2024 sera la première depuis Sydney 2000 qui n’a pas dépassé les 10 milliards de dollars. Cet effort permet au CIO de démontrer aux futurs sites que tout ne sera pas que des coûts incontrôlés et des éléphants blancs en matière d’héritage.

La proposition de la France semble plus qu’écologiquement durable. C’est là l’une des clés pour comprendre ces chiffres. L’exemple le plus frappant est que pour Paris 2024, un seul stade a été construit de toutes pièces. Il s’agit d’un centre aquatique de water-polo et de plongée construit sur une base biologique et avec de faibles émissions de carbone et une faible consommation d’énergie.

Lorsqu’il s’agissait de peaufiner le crayon, il y avait des détails « grossiers » que l’organisation semblait omettre. Le village olympique est le principal visé. En la delegación argentina, la voz más fuerte que se escuchó fue la de Santiago Gómez Cora, entrenador de Los Pumas seven, quien fue lapidario con la organización: “Está de moda esto de que no haya proteínas y que la comida sea vegana o no Je sais que. Nous avons fait la queue pendant 40 minutes pour obtenir un hamburger ou la viande qu’ils servaient.

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Il existe de nombreux points de contact entre les plaintes de nombreuses délégations, la nourriture étant le principal problème. La porte-drapeau des États-Unis lors de la cérémonie d’ouverture, l’Américaine Coco Gauff, s’est également plainte : « C’est incroyable qu’à cette époque nous soyons obligés de partager deux toilettes entre dix athlètes. Qui a eu la bonne idée ? Ne savent-ils pas que notre temps est précieux ?

Le manque de climatisation, les finitions du bâtiment et même le manque de rideaux étaient quelques-unes des plaintes que les membres de la délégation argentine ont transmises à PERFIL. « Il n’était pas très soucieux du bien-être des athlètes », lui confie celui qui connaît les Jeux olympiques.

D’autres athlètes, comme le joueur de tennis serbe Novak Djokovic, préfèrent ne pas rester dans le village qui abrite la majorité des plus de dix mille athlètes en quête de gloire olympique. Une gloire olympique que beaucoup ont dû atteindre en traversant des désagréments qui sont loin d’être normaux pour l’élite sportive, mais qui semblent raisonnables dans des Jeux où « il n’y a pas d’argent ».

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* De Paris.



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