2025-02-06 23:34:00
BarcelonePlus de 160 détenus de la prison de Rubber City, en République démocratique du Congo, ont été violés et vivaient vivants, selon les Nations Unies (ONU). Les événements ont eu lieu lundi lors de l’évasion de masse des prisonniers du pénitencier de Munzenze, après l’entrée de la ville des forces du groupe rebelle M23, qui est soutenue par le Rwanda, et qui a plongé la ville dans le chaos.
À la sous-rampe de l’i Responsable de la mission de lancement entre les factions au combat, Vivian Van de Perre, a également rapporté que des milliers d’hommes ont fui le pénitencier susmentionné, tandis que dans l’aile des femmes, un groupe de personnes incontrôlées y va. Certains des gestionnaires de massacres ont été arrêtés par les responsables de la prison et ont ensuite été exécutés.
Les informations diffusées par la BBC à partir de documents internes de l’ONU, placent le nombre de femmes victimes de la prison entre 165 et 167. Le porte-parole du bureau des droits de l’homme des Nations Unies, Seif Magango, a expliqué à la chaîne américaine CNN que la plupart des femmes mort du feu. Entre neuf et treize, cependant, ils ont survécu aux flammes, bien qu’ils aient été également violés par le Turba.
Ressources naturelles
Kinshasa accuse le Rwanda de vouloir déstabiliser l’est du Congo dans le but de piller ses ressources naturelles, en particulier des minéraux tels que Coltan, essentiels à la production de téléphones mobiles. Le Rwanda, en revanche, affirme qu’il défend ses intérêts et qu’il répond à la présence de groupes armés de Hutus au Congo.
L’origine des tensions de courant est déplacée vers Genocididi A Ruanda de 1994lorsque des milliers de hutus comprenant des militaires responsables de la mort entre 800 000 et un million de tutsis au Congo pour éviter les représailles. Cela a conduit à des tensions avec les Tutsis congolais et a déclenché deux guerres (1996-1997 et 1998-2003). En fait, même aujourd’hui, les groupes armés de Hutus, tels que les forces de libération démocratique du Rwanda (FDLR), opèrent à l’est de la République démocratique, et le gouvernement rwandais accuse Kinshasa les protégeant.
Le M23 (mouvement le 23 mars) est composé d’anciens ex-militaires tutsis, qui ont augmenté en 2012 contre le gouvernement congolais. À partir de 2021, le M23 a de nouveau gagné en force, jusqu’à récemment, il a pris le contrôle du caoutchouc. Au cours des dernières heures de ce jeudi, leur force est telle qu’ils ont nommé un nouveau gouverneur de la province du Nord du Kivu.
La ville de caoutchouc, située dans le nord-est de la République démocratique du Congo, à la frontière du Rwanda, a une population de plus d’un million d’habitants et vit ces jours-ci, des déplacements massifs de civils et des violations graves des droits de l’homme, comme celle que la L’ONU a dénoncé. Des sources de la même organisation indiquent également un certain nombre de près de 3 000 décès. Pour sa part, les médecins sans frontières mettent en garde contre le risque d’une épidémie de choléra en raison de la présence de cadavres dans les rues et du manque d’accès à l’eau potable.
Vivian Van de Perre a également signalé que le groupe rebelle M23 se dirige vers le sud du pays, en particulier à la ville de Bukavu. Cependant, l’arrivée de l’armée du Burundi aurait cependant pu les revenir. En tout cas, ils vont de Perre nécessite une augmentation De la pression au Rwanda et à la République démocratique du Congo pour retourner à une table de négociation et les hostilités sont arrêtées.
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