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Myltazéma. En Tunisie, c’est le mot qu’on rattache au nom de Badiâa Bouhrizi. «Mais il n’a pas la même signification partout. Chez nous, cela veut dire «engagée politiquement», mais au Moyen-Orient, cela signifie aussi «voilée», et donc engagée, mais envers la religion.» Badiâa Bouhrizi, également connue sous son nom de Neysatu, sourit. De la politique, elle n’en fait pas à proprement parler. Elle la chante. «Mais je ne considère pas tous mes textes comme politiques. Certains parlent plutôt d’un engagement philosophique. Qu’est-ce que la beauté? C’est l’amour, c’est la liberté, c’est la révolution!» La sienne, c’est la tunisienne, la première du Printemps arabe, en janvier 2011, qui détrôna le dictateur Zine el-Abidine Ben Ali, au pouvoir depuis vingt-quatre ans.
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