Depuis Division familiale texte de 2006 créé à l’Arsenic avant d’être accueilli au Poche, à Genève, Julien Mages n’en finit pas de visiter son propre trauma: le suicide d’un père qui a laissé une famille en lambeaux, des enfants blessés, égarés. Mais si sa quête est personnelle, ses mots sont universels. Ils renvoient l’audience à toutes ses impasses relationnelles.
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