Dans chaque campagne de l’équipe nationale israélienne, l’arrogance et l’arrogance reprennent le dessus sur le discours. En réalité, on est bien moins bon au basket qu’on ne le pense
Noam Yaakov (à droite) et Oz Blazer célèbrent hier la victoire de l’équipe nationale israélienne sur le Portugal. Contre un adversaire sans pose, ça s’est presque terminé différemment Photo : fiba.basketball
Depuis de nombreuses années, il y a un débat animé sur le caractère spécial, ou comme on l’appelle communément dans certains milieux, l’ADN de l’équipe de basket d’Israël. Il s’agit généralement de superlatifs sur l’esprit combatif, le maintien de la pression, une opportunité pour les défavorisés. Joueur israélien, l’arrivée à l’âge adulte d’une telle “génération dorée” ou un autre qui a excellé dans son jeune âge et est censé le reproduire avec précision, pour une raison quelconque, au niveau senior.
Réclamations…