2025-02-17 14:39:00
Le pape François fait de la publicité dans l’année sainte 2025 pour la dette équitable des pays pauvres dans le Sud mondial. L’exemple du Kenya montre comment une année de décret de pauvreté, le manque de perspective et la déficience peuvent conduire.
Andreas Frick est la directrice générale de Misereor.
Je me souviens toujours clairement de la façon dont nos partenaires au Kenya ont comparé la dette souveraine écrasante avec un étranger lorsqu’ils parlent sur place. Un décret de la dette, qui est devenu clair, pouvait libérer les pays de cette impasse.
Comme de nombreux autres pays du Sud mondial, le pays de l’Afrique de l’Est est dans un cercle vicieux de la dette publique croissante, des augmentations d’impôts drastiques et de l’augmentation des coûts de vie. Les conséquences du fardeau de la dette sont la pauvreté dans de nombreux endroits. Au cours de l’été 2024, une réforme fiscale qui aurait fait des choses essentielles dans la vie quotidienne a fait déborder le baril et a conduit les jeunes à des manifestations de masse dans les rues de la capitale Nairobi. Nos analyses dans le rapport de la dette publiées conjointement par Erlassjahr.de et Misereor montrent que le Kenya a dû dépenser environ un quart de ses revenus publics pour les intérêts et les paiements de remboursement aux créanciers étrangers l’année dernière. Les paiements aux créanciers sont environ cinq fois plus élevés que le budget de l’État pour les soins de santé. En conséquence, de nombreuses personnes peuvent à peine se permettre leur vie.
Réduire le fardeau de la dette à un niveau durable
Un moyen de sortir de la crise pourrait être des réductions de dettes complètes – cela est devenu clair pour moi pendant mon voyage dans de nombreuses conversations avec des partenaires de la société civile. Les principaux croyants tels que la Banque mondiale, la Banque africaine de développement, mais aussi les créanciers bilatéraux tels que la Chine et le Japon seraient alors impliqués dans le coût de la crise. L’objectif d’un tel allégement de la dette est de réduire le fardeau de la dette à un niveau durable à long terme et de permettre une reprise économique.
À long terme, une procédure d’insolvabilité de l’État convenu multilatéralement, transparente et indépendante est nécessaire, dans laquelle la dette de l’État est restructurée en fonction des règles contraignantes et de la participation de tous les créanciers, comme c’est le cas avec la faillite des entreprises ou des particuliers. Cela pourrait empêcher les crises de dette comme au Kenya et dans d’autres pays.
Pas de viabilité future sans portée
Les pays très redevables ont besoin de portée budgétaire afin de pouvoir transformer une transformation vers des sociétés durables, par exemple en se tournant vers l’utilisation des énergies renouvelables. L’équilibre qui donne à réfléchir des objectifs de durabilité des Nations Unies montre à quel point ces étendus sont urgents: les mesures de l’État contre la crise climatique, avec laquelle la pauvreté et la faim doivent être combates, ainsi que des investissements dans des services de base tels que les soins de santé et l’éducation ne peuvent être lancés que dans le long terme après le soulagement de l’allégement de la dette.
Une réduction de la dette serait donc une libération, la pensée seule pousse un soupir de soulagement et tout mélangé. Il s’agit de la liberté et de la dignité, du point de vue des plus pauvres.
L’année sainte 2025 est également destinée à faire appel aux responsables en politique et en affaires pour émettre des dettes maintenant. Du point de vue du pape François, la question de la dette extérieure est “non seulement une question économique, mais qui touche les principes de base éthiques et devrait avoir une place en droit international”.
Les changements commencent par la vision de l’impossible
L’année du jubilé était une tradition du peuple juif. Une occasion récurrente d’émettre des dettes et d’ouvrir la chance d’un nouveau départ. Misereor veut rejoindre cet appel prophétique, qui est plus urgent que jamais. Les grands changements commencent par la vision de l’impossible, avec le courage prophétique des groupes individuels.
Ensemble, faisons les nombreuses étapes petites mais nécessaires vers une vie décente pour tout le monde. L’année sainte offre l’occasion. Par exemple, grâce au soutien de la campagne annuelle décorée portée par Caritas International et de nombreux acteurs catholiques. Il est sous la devise “transformer de la dette en espoir” et envoie un faisceau lumineux d’espoir.
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