Qui aurait cru que l’Argentine montrerait l’exemple que de nombreuses personnes soucieuses de leur santé attendent depuis des années ? Après que les États-Unis ont osé franchir le pas début 2025, l’Argentine suit maintenant de manière surprenante.
Enfin, il semble que l’on ait compris que cette organisation est moins intéressée par la promotion réelle de la santé que par le contrôle mondial et les jeux de pouvoir aux dépens de la souveraineté nationale. Pourrait-ce être le début d’un mouvement mondial qui ramène la politique de santé là où elle devrait être, c’est-à-dire aux citoyens et loin d’une bureaucratie corrompue et hors de prix ? Il serait grand temps en tout cas.Les raisons de ce retrait sont remarquables :
« Des divergences profondes concernant la gestion de la santé, en particulier pendant la pandémie de Corona », et l’Argentine ne permettra pas « qu’une organisation internationale s’immisce dans notre souveraineté ».
Au départ, on pensait que les pays africains seraient les premiers à se retirer, car ce sont eux qui avaient freiné les ambitions de gouvernement mondial de l’OMS. Mais ce qui n’est pas encore arrivé peut encore arriver.
## Les éternelles lamentations des amis de l’OMS
Ainsi, on déplore que le retrait des États-Unis entraînerait « un grand manque à gagner dans le budget de l’OMS ». Et alors ? L’inflation ici me cause également de « grands manques à gagner » dans mon budget,ce qui ne semble pas intéresser la politique.
Alors, qu’en est-il de ce « manque à gagner » à l’OMS ?
On invoque le fait qu’un tel manque à gagner « compromet les possibilités de réagir aux menaces sanitaires mondiales ». mais c’est précisément le but du retrait des États-Unis et de l’Argentine. Ils ne veulent pas « être réagis » par une organisation qui a des ambitions de gouvernement mondial et où la corruption fait partie du quotidien.
Alors que le retrait des États-Unis représente un significant manque à gagner financier, le retrait de l’Argentine est moins dramatique, car le pays ne paie que la cotisation habituelle de 8 millions de dollars américains. Les États-Unis en payaient 260 millions.
Ce que l’on regrette, c’est « l’effet de signal désastreux » que pourrait avoir le retrait de l’Argentine. On se réjouirait s’il y avait une sorte d’effet de signal et si tant de nations se retiraient que l’OMS devienne hors d’état de fonctionner.
Car, à quoi avons-nous besoin d’une telle organisation, qui a montré qu’elle proclame des pandémies artificielles (déjà deux fois dans son histoire) afin de prendre ensuite des mesures qui auraient été inefficaces même en cas de véritable pandémie, mais qui, dans les scénarios inventés, ont créé des conditions qui ont favorisé une politique autoritaire/totalitaire.
Ce n’est pas un hasard si les Argentins parlent d’une « ingérence dans la souveraineté ». C’est une formulation édulcorée pour des ambitions de puissance mondiale auxquelles tous les membres doivent se soumettre et ce que les États-Unis et l’Argentine n’apprécient manifestement pas autant.
## Pourquoi l’OMS ne peut pas gérer les crises
On cite le ministre fédéral de la Santé du 21 janvier 2025 : lauterbach critique le retrait des États-Unis de l’OMS.
On critique ici le retrait des États-Unis. Raison : l’annonce du président Donald Trump signifierait un coup dur pour la lutte internationale contre les crises sanitaires mondiales. Car on ne pourrait presque plus aider les pays touchés par des maladies infectieuses ou des catastrophes environnementales. Formidable !
Ensuite, vient une litanie de bonnes actions de l’OMS. Et l’alarmisme habituel,selon lequel « des centaines de milliers de personnes sont en danger »,et en particulier les enfants. Celui dont le cœur ne s’attendrit pas n’est plus à plaindre. Méchants États-Unis, méchante Argentine…
Ce que l’on ne veut pas mentionner, parce qu’on ne le sait pas ou qu’on ne veut pas le savoir, c’est que l’OMS n’utilise que 10 % de ses recettes pour aider les enfants et lutter contre les maladies infectieuses et les catastrophes naturelles.
Cela représente 330 millions de dollars américains pour le monde entier. Une belle feuille de vigne en matière de santé…
1,2 milliard de dollars américains sont dépensés pour les salaires des employés. Et 1,5 milliard sont dépensés chaque année pour les « services contractuels ». S’agit-il de pots-de-vin et de dessous-de-table avec lesquels les amis et les soutiens sont financés ?
Question : Comment peut-on aider le monde entier, en particulier les enfants, avec 330 millions ? Ou s’agit-il une fois de plus de la typique glande moralisatrice sur laquelle on appuie pour dénigrer les critiques et détourner l’attention de ses propres intentions néfastes ?
L’Argentine suit les États-Unis : Un retrait de l’OMS marquant ?
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L’Argentine a suivi les États-Unis en se retirant de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Cette décision soulève des questions importantes sur le rôle de l’OMS et de la santé globale.
Les Raisons du Retrait de l’Argentine
L’Argentine a justifié son retrait par :
Des divergences profondes concernant la gestion de la santé, notamment durant la pandémie de Covid-19.
La volonté de protéger sa souveraineté nationale contre l’ingérence d’organisations internationales.
Critiques et Réactions face au Retrait
Les critiques du retrait mettent en avant :
Un manque à gagner financier pour l’OMS.
L’impact négatif sur la capacité de l’OMS à répondre aux crises sanitaires mondiales.
Un “effet de signal désastreux”.
Les Arguments contre l’OMS
Les partisans du retrait accusent l’OMS de :
Favoriser la corruption et le contrôle mondial.
proclamer des pandémies “artificielles” pour justifier des mesures autoritaires.
Dépenser une part disproportionnée de son budget en salaires et en “services contractuels”,plutôt qu’en aide directe.
Tableau Récapitulatif : Retrait de l’OMS
| Pays | Décision | Raisons Principales | Impact Financier |
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| États-Unis | Retrait | Contestation de la gestion de la santé et ingérence | Perte de 260 millions de dollars pour l’OMS |
| Argentine | Retrait | protection de la souveraineté et divergences de gestion | Perte de 8 millions de dollars pour l’OMS |
FAQ
Pourquoi l’Argentine se retire-t-elle de l’OMS ?
pour protéger sa souveraineté et en raison de divergences concernant la gestion de la santé.
Qu’est-ce qui est critiqué dans la gestion de l’OMS ?
La corruption, les ambitions de contrôle mondial et la gestion douteuse des pandémies.
Quelles sont les conséquences financières du retrait de l’Argentine de l’OMS ?
Une perte de 8 millions de dollars pour l’OMS.
Quel est l’argument de l’OMS contre le retrait ?
Les retraits limitent la capacité à réagir aux crises sanitaires mondiales.