2024-04-09 14:47:44
La procureur général de l’État a refusé à deux reprises de publier un rapport sur l’amnistie, rejetant les demandes formulées par la commission sénatoriale. Le procureur général de l’État, Álvaro García Ortiz, assure qu’il n’appartient pas au Ministère Public d’émettre ce type d’avis sur un projet de loi en cours et que son avis peut influencer les décisions que les procureurs adoptent dans le développement quotidien de leurs fonctions. Mais l’Association des procureurs (DE)escroquer six membres du Conseil fiscal, a exposé les raisons pour lesquelles il estime que cet organe devrait émettre un avis sur la future loi d’amnistie.
Ces arguments apparaissent précisément dans la première section du projet de rapport qui vient d’être publié. Il s’agit d’un document volumineux, 160 pages, qui Ils ont envoyé García Ortiz pour débat et approbation afin d’être inclus dans la prochaine séance plénière du Conseil Fiscal, qui aura lieu le 25 avril. Et aussi que le procureur général de l’État nomme un porte-parole. Cependant, García Ortiz a rejeté pour la troisième fois la demande posée par le association majoritaire pour préparer un avis. Une décision qui a déclenché l’indignation parmi les six membres de l’AF qui composent le Conseil budgétaire.
Dans le projet de rapport, auquel LA RAZÓN a eu accès, est incluse une section intitulée « Contexte et compétence du Conseil fiscal ». Il rend compte des arguments qui discutent de la décision de García Ortiz de fermer les portes au débat et vote toin rapport sur l’amnistie, malgré que cette initiative législative « a un impact important sur le champ fonctionnel du ministère public »comme indiqué dans le projet.
L’association majoritaire conclut en un peu plus de quatre pages quee “nou il n’y a aucun obstacle, bien au contraire, pour que le Conseil budgétaire publie ce rapport». En insiste sur le fait que « e“Le devoir général de collaboration avec les Cortès incombe au ministère public en tant qu’institution et non au procureur général de l’État”, sousgratte le document, indiquant quoi à l’intérieur De par sa structure, le Conseil Fiscal est l’organe chargé de rendre compte des propositions législatives qui affectent la structure, l’organisation et le fonctionnement du ministère des Finances.
Selon détaille le projet, l’application d’une mesure de grâce telle que celle qui profitera aux crimes de «processus” de Catalogne « influence radicalement certaines procédures pénales, déjà conclues par une condamnation définitive ou en traitementdans lequel le ministère public intervient en tant que partie nécessaire” et aussi “sur lequel il devra se prononcer en matière de« envers les responsabilités pénales et civiles correspondantes »
En outre, il souligne que la position du ministère public dans le domaine de la juridiction constitutionnelle, en raison de son statut d’organisme chargé d’agir dans la défense de la légalité et des droits des citoyens et pour sa pertinence dans l’approche et la résolution des questions d’inconstitutionnalité.
D’autre part, le texte proposé par l’AF souligne que la future loi d’amnistie touche aux questions relatives à la juridiction comptable exercée devant la Cour des Comptes ou aux responsabilités administratives relevant de la compétence de la Cour.ncious-administrative, à laquelle le ministère public a certaines fonctions assignées.
Ils soulignent également l’article 10 du statut organique du ministère public, qui “constitue une solide autorisation légale pour émettre ce rapport”. Il indique qu’il existe un devoir général de collaboration du ministère des Financesl avec les Cortes générales, « à leur demande et tant qu’il n’y a pas d’obstacle juridique », indiquent-ils.
Pour l’Association des procureurs, le fait que le Statut ne prévoit pas expressément que le Conseil des procureurs est compétent pour publier des rapports sur les propositions législatives ne constitue pas un obstacle. En outre, soulignent-ils dans le document de travail, Aucune décision de la Cour Constitutionnelle (TC) n’empêche la préparation du rapport que le Sénat a demandé à deux reprises au procureur général de l’État.
En revanche, l’article 14.4 du Statut inclut parmi les pouvoirs du Conseil fiscal la possibilité de délivrer et dansforme sur des « projets de loi » qui, selon l’association majoritaire, ne doivent pas être interprétés de manière littéralement, puisque les règlements qui régissent la création et le fonctionnement du Conseil incluent parmi ses fonctions celle de rendre compte des « avant-projets » qui affectent la structure, l’organisation et les fonctions du ministère public.
« Ce qui est important – souligne le texte – n’est pas la forme spécifique que prend la proposition législative, mais la nécessité pour l’institution d’être en mesure d’émettre un rapport sur un texte prénormatif ce qui affecte considérablement sa portée fonctionnelle » et insiste sur le fait que Des rapports peuvent être publiés sur un projet de loi « à la demande de l’une des chambres législatives qui composent les Cortes générales, avec lesquelles il existe un devoir de collaboration ».
Et cela inclut également la jurisprudence de la Cour constitutionnelle selon laquelle souligne que, même si les propositions législatives n’exigent pas la publication de rapports préalables, Les tribunaux généraux Ouais peut demander des rapports à différents organismes, comme le CGPJ ou le Conseil Fiscal, sur toute question ou affaire relevant de sa compétence institutionnelle.
Malgré tous ces arguments, qui figurent dans le projet envoyé à García Ortiz, le procureur général de l’État maintient sa position de ne pas publier de rapport sur la loi d’amnistie, comme le Sénat l’a demandé à deux reprises.
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