Pourquoi les entreprises ne veulent pas quitter la Chine

La « réduction des risques » et la forme extrême appelée « découplage » sont des termes issus du mot « tournant ». Si le chancelier Olaf Scholz (SPD) et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen (CDU) obtiennent gain de cause, les entreprises allemandes, en particulier l’industrie automobile allemande, devraient devenir plus indépendantes du marché chinois. La position européenne est loin d’être un découplage complet, comme le réclament parfois les politiciens américains. Et pourtant : la direction est la même. Moins de Chine, moins de risques, plus de prospérité est l’équation supposée.