Pourquoi les riches se livrent à une gymnastique financière pour maximiser chaque dollar

Plus tôt ce mois-ci, MasterCard a publié une étude sur la manière dont les consommateurs aisés gèrent leur argent. En interrogeant 29 536 consommateurs sur 23 marchés, Mastercard a identifié des tendances dans les habitudes de dépenses et d’épargne des gens, en particulier en notant les façons uniques dont les consommateurs aisés, ceux qui comptent parmi les 10 % des ménages les plus riches au niveau national, tentent de maximiser leurs récompenses.

Preneurs de risques

Ces individus aisés sont plus avisés dans leurs investissements. Cela vient de leur volonté de prendre des risques. 45 % des individus aisés sont prêts à prendre des risques, contre 35 % des consommateurs de masse. Cela peut être influencé par le fait que ces individus ont une plus grande capacité à se remettre des risques allant vers le sud.

En conséquence, les consommateurs aisés adoptent et utilisent les solutions technologiques financières avant qu’elles ne deviennent courantes. Ils considèrent ces solutions comme des opportunités de création de richesse. Ainsi, 38 % des consommateurs aisés sont les premiers à adopter les nouvelles technologies financières, alors que seulement 25 % des consommateurs de masse font de même.

Dans le même temps, peut-être parce que ces consommateurs considèrent ces solutions fintech comme des opportunités d’investissement, ils s’attendent à ce que le processus d’intégration soit rapide. En d’autres termes, pour des solutions telles que la maximisation des cartes de crédit, le service devrait leur permettre de scanner rapidement leurs cartes, au lieu de les ajouter manuellement, une par une. Pour réaliser cette démarche plus rapidement, 45 % des consommateurs aisés sont prêts à payer un peu plus pour gagner du temps.

Objectifs de vie

Cette préférence pour l’efficacité peut provenir de la priorité accordée par les riches aux expériences plutôt qu’aux possessions. Parmi ces consommateurs, 59 % indiquent une forte préférence pour les repas au restaurant, les divertissements et les voyages plutôt que pour l’acquisition de biens matériels. Puisque ces personnes ont pris soin de leurs problèmes de subsistance, ce qu’ils recherchent dans la vie, ce sont des aspects tels que les repas au restaurant, le divertissement. , et voyager.

En conséquence, l’avancement professionnel, bien que toujours important, passe au second plan par rapport à l’épanouissement personnel pour de nombreuses personnes aisées. Seulement 30 % citent la progression de carrière comme objectif principal, tandis que 52 % considèrent les voyages comme leur principal objectif personnel au cours des cinq prochaines années. Compte tenu de la priorité accordée aux expériences, les consommateurs aisés se tournent également vers les cartes de crédit qui récompensent les dépenses de voyage et de loisirs. Alors que les consommateurs de masse préfèrent les cartes de débit, les consommateurs aisés privilégient le crédit, avec une moyenne de 2,1 cartes de crédit contre 1,7 pour le marché de masse.

L’attrait des cartes de crédit pour les consommateurs aisés est multiforme : 47 % offrent des avantages tels que des remises en argent, des miles aériens et des points d’achat ; 31 % estiment que l’utilisation des cartes de crédit améliore leur statut ; et 27 % apprécient la protection des achats offerte. Pour optimiser les récompenses, les individus aisés diversifient souvent leurs méthodes de paiement ; Dans la seule région Asie-Pacifique, les consommateurs aisés utilisent en moyenne 7,5 types de paiement par personne.

Objectif hérité

Mastercard décrit ce modèle comme «gymnastique financière», illustrant la manière dont les consommateurs aisés gèrent activement leurs finances. Ce groupe jongle souvent avec les cartes de crédit, de débit et prépayées, en attribuant chacune stratégiquement en fonction du type de transaction, comme l’utilisation de cartes de crédit pour les voyages et de cartes de débit pour les produits essentiels. En optimisant le potentiel de leur portefeuille, ils cherchent à bénéficier d’incitations et à réduire les coûts inutiles.

Ces consommateurs aisés sont plus susceptibles de faire des choix financiers intentionnels, en s’appuyant à la fois sur des connaissances financières approfondies et sur des sources d’informations telles que le bouche-à-oreille et des recherches proactives. Leur planification et leurs dépenses méticuleuses visent non seulement à assurer leur présent, mais également à remplir un objectif plus vaste : laisser un héritage. En fait, les consommateurs aisés sont 30 % plus susceptibles que la population mondiale de donner la priorité à l’épargne à cette fin et 40 % plus susceptibles de citer l’héritage comme objectif financier. Leurs objectifs vont au-delà de la richesse personnelle ; ils souhaitent laisser un impact durable sur la famille, la communauté et les générations futures.

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