Les médicaments commercialisés pour traiter le diabète de type 2 tel que l’Ozempic se sont également révélés efficaces pour aider les utilisateurs à perdre du poids.
Ceux qui ont pris les médicaments pour la gestion du poids disent que le «bruit alimentaire» constant disparaît, entraînant des améliorations à la santé mentale et physique.
Voici les facteurs que le gouvernement prend en compte.
Combien de médicaments y a-t-il et sont-ils disponibles en Australie?
Les médicaments connus sous le nom de GLP-1 Ras imitent l’hormone qui stimule le système digestif, disant essentiellement au corps qu’il est plein après avoir mangé. Ils travaillent pour supprimer l’appétit d’une personne en les faisant se sentir rassasiés.
En Australie, trois Ras GLP-1 principaux sont disponibles – Ozempic, Wegovy et Mounjaro.
La société pharmaceutique danoise Novo Nordisk produit Ozempic et Wegovy. Ils contiennent le même ingrédient actif, le sémaglutide, mais sont commercialisés différemment – pour le traitement du diabète de type 2 et la perte de poids, respectivement.
La société américaine Eli Lilly produit Mounjaro, qui est à nouveau commercialisée comme traitement du diabète mais peut également être utilisée à des fins hors AMM.
Tous les médicaments ont été rares en Australie. L’administration des produits thérapeutiques a averti que les pénuries, causées par une forte demande et les exigences de fabrication spécialisées des médicaments, continuer en 2025.
Les médicaments sont également chers.
Ozempic est approuvé dans le régime des avantages sociaux pharmaceutiques – Ce qui signifie que le gouvernement subventionne le coût – uniquement pour le traitement du diabète.
Avec cette subvention, une dose hebdomadaire coûte 31,50 $.
Avec une prescription privée – c’est-à-dire pour autre chose que le traitement du diabète – le prix pourrait se situer entre 75 $ et 150 $ pour la même dose.
Les prix des autres GLP-1 RAS varient entre les pharmacies et les fournisseurs, mais sont généralement similaires à celui de l’ozempic.
L’Australie devrait-elle subventionner les médicaments pour les personnes ayant des problèmes de gestion du poids?
Pour qu’un médicament soit placé sur le PBS, une entreprise doit faire une soumission à l’organisme d’experts indépendant, le comité consultatif sur les avantages sociaux pharmaceutiques.
Le PBAC se réunit trois fois par an et fait des recommandations en fonction de l’efficacité clinique, de la sécurité et de la rentabilité de chaque médicament ou vaccinal. Jusqu’à présent, le comité a rejeté deux soumissions de Novo Nordisk pour placer Wegovy sur le programme pour les Australiens avec une obésité sévère.
Eli Lilly a déclaré qu’il ferait une soumission cette année pour placer Mounjaro sur le PBS et explorer «toutes les voies réalisables qui pourraient permettre un accès équitable» au médicament.
Le directeur australien et néo-zélandais de la société, Tori Brown, a déclaré qu’il y avait une «compréhension accrue» au sein du gouvernement fédéral des avantages de ces médicaments.
L’observatoire mondial de l’obésité a estimé l’impact économique du surpoids et de l’obésité en Australie à 40 milliards de dollars – ou 1,9% du PIB. L’observatoire estime que l’impact passera à 252 milliards de dollars d’ici 2060, soit 3,5% du PIB.
Jonathan Karnon, professeur d’économie de la santé à l’Université Flinders, a déclaré que les médicaments pourraient avoir un impact positif sur la réduction d’autres problèmes de santé associés à une obésité sévère.
«Il existe un large éventail de maladies qui sont prévues seront réduites si ces médicaments de perte de poids sont fabriqués [more] Disponible à travers la population », dit-il.
Que dit le gouvernement fédéral?
Jusqu’à présent, le gouvernement fédéral n’a pas révélé si elle soutient les contribuables qui subventionnent les médicaments pour ceux qui ont besoin d’un soutien pharmacothérapeutique à la gestion du poids.
Le ministre de la Santé, Mark Butler, a déclaré que l’introduction de GLP-1 allait être «un très grand défi pour les autorités à gérer».
«Il y a le coût. Il y a le nombre de personnes qui vont les prendre, [and] Que ce soit sur le PBS ou non », a déclaré le ministre sur le programme de questions-réponses de l’ABC en octobre.
Tim Gill, professeur de nutrition de la santé et chef de la direction de l’obésité Collective, dit qu’ils devraient être placés sur le programme mais limités à ceux qui en ont le plus besoin.
«Nous voulons des capitaux propres dans la façon dont les soins de santé sont livrés», dit-il.
«L’obésité est une affection chronique grave, que vous y considériez comme une maladie… elle se traduit par une énorme santé malade.»
Terri-Lynne South, porte-parole du Royal Australian College of Practitioners, dit que les médicaments ne devraient pas être considérés comme la solution simple pour améliorer les résultats de l’obésité.
South dit que les gens devraient viser un «plan de santé complet et holistique» pour la perte de poids.
“De cette façon, vos perspectives de santé à long terme s’amélioreront, pas seulement votre tour de taille », dit-elle.
«Il est également essentiel que ces médicaments soient disponibles pour les patients qui en ont besoin pour d’autres conditions, y compris le diabète.»
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