Poursuivant son argumentaire, le président Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani a noté que parmi les crises aiguës les plus dévastatrices en Afrique se trouvent l’insécurité et les changements anticonstitutionnels. Il a évoqué la propagation des formes de violence terroriste, sociale, politique et interethnique sur le continent, ainsi que le retrait du Mali du G5 et la forte recrudescence des ruptures de la légitimité constitutionnelle comme des obstacles entravant la recherche collective de la paix en Afrique. Il a conclu en soulignant la nécessité de travailler à libérer le potentiel en ressources et à construire des solutions innovantes par l’amélioration de la gouvernance politique et sociale au sein des États pour construire un développement durable et une prospérité partagée.