Pendant ce texte, on apprend que des harcèlements sont quand même assez fréquents dans les écoles. Ils peuvent être sous forme de coups, d’insultes et de menaces. Un nombre variant entre deux et quatre élèves par classe seraient aujourd’hui victimes de harcèlement en Suisse. En essayant de lutter contre ce problème, des solutions commencent à être mises en place dans les écoles, et la parole des victimes se libère.
Le récit de Ludivine, une adolescente, éclaire sur les conséquences durables de cette situation. Elle a été victime de harcèlement avec des insultes régulières et des coups quand elle était plus jeune, causant de la douleur qui reste encore aujourd’hui. Une ado de 14 ans, Sasha, a également subi des brimades et des violences, allant même jusqu’au racket.
Le harcèlement, qui peut aller de la répétition de moqueries à des agressions ou à des rackets subis par un élève, est un mal protéiforme dont les conséquences peuvent être dramatiques. Avec l’avènement des plateformes digitales, le harcèlement peut désormais se poursuivre 24 heures sur 24.
La conscience de ce problème dans les écoles a augmenté. Des programmes de prévention et de lutte sont maintenant mis en place, et des méthodes comme la préoccupation partagée sont utilisées pour traiter les cas de harcèlement.
En encouragement de la libération de la parole, les victimes comme Ludivine et Sasha ont accepté de témoigner pour sensibiliser à cette question. Cependant, le déni des harceleurs demeure un obstacle à la résolution de ce problème.